Les valeurs aryennes d’Avatar

[1]1,575 words

English original here [2]

Le film Avatar est un immense succès commercial et culturel. Dans les milieux nationalistes blancs, cependant, la superproduction est souvent qualifiée d’anti-blanche (voir ici [3], ici [4], et ici [5] pour des exemples). Cette interprétation du film illustre quatre problèmes actuellement évidents dans le mouvement Nationaliste Blanc :

(1) La tendance à ne voir que la couleur de la peau en discutant de la race ;

(2) Un manque de connaissances concernant les valeurs aryennes et la culture indo-européenne ;

(3) Une mentalité de « Les Blancs ont toujours raison » qui conduit à l’incapacité à l’autocritique, même quand les Blancs agissent comme des Noirs ou des Juifs ; et

(4) La récente tendance des Blancs à jouer les victimes, interprétant tout comme une attaque et prétendant qu’on ne les autorise pas à faire ce qu’ils veulent.

L’analyse anti-blanche d’Avatar est le résultat d’une vision biologique trop simpliste qui se concentre seulement sur la couleur de la peau, et qui est donc dépourvue de toute conscience des valeurs aryennes et non-aryennes. Si les Blancs veulent avoir une chance de reprendre le contrôle de leurs pays et de leur culture, alors nous devons apprendre à voir plus loin que les interprétations purement matérielles et apprendre à reconnaître nos propres valeurs et idéaux lorsqu’ils jaillissent littéralement de l’écran en trois dimensions devant nous.

Avatar est l’histoire de la RDA, la plus grande société commerciale non-gouvernementale en l’an 2154, qui recherche un minéral rare qui se vend au prix de 20 dollars le kilo. La société emploie des mercenaires qui ressemblent beaucoup à l’armée de l’Amérique d’aujourd’hui, avec des hommes de main et des voyous de toutes couleurs. Ils se livrent à l’exploitation minière de la planète Pandora, et si les Na’vis indigènes ne veulent pas déménager pour que la RDA puisse creuser leur terre natale et se faire un tas de fric alors les dirigeants de la société et leur armée prévoient de tuer froidement les natifs.

Avidité et capitalisme juifs dans Avatar

La société commerciale avide et capitaliste représente l’esprit juif qui s’est emparé de la société américaine. Les mercenaires sont de diverses origines raciales, et bien que le colonel Miles Quaritch soit physiquement blanc, il n’a pas un caractère aryen. Au contraire, lui et plusieurs autres dirigeants de la société ont les caractéristiques sémitiques de la dégénérescence spirituelle et se concentrent uniquement sur les buts matériels. Le petit administrateur aux yeux de fouine joué par Giovanni Ribisi est presque une caricature de Juif.

Ces humains sont incapables de comprendre la spiritualité des Na’vis et pensent que ce sont de simples sauvages qu’il faut dominer pour que leur terre et leur religion puissent être pillées. Les humains voient tout sous l’angle économique, contrairement aux Na’vis qui pensent que toute vie est sacrée et que sa valeur est au-dessus de tout profit économique. Les dirigeants de la société trouvent étrange que les Na’vis ne veuillent pas abandonner leurs sites sacrés en échange de blue-jeans et de bière allégée.

Une autre exposition de valeurs juives est l’incapacité des travailleurs de la société à comprendre l’amour entre le héros et une fille na’vi ; au contraire, ils insinuent qu’il s’est juste payé du bon temps.

Quand la société finit par bombarder l’arbre sacré des Na’vis, ceux-ci défendent « leur terre », faisant écho aux paroles de l’hymne national palestinien (« Mon pays, ma terre, terre de mes ancêtres »). Quand les Na’vis doivent fuir, les scènes sont comparables à celles des horreurs infligées aux Palestiniens par les Israël et les Américains qui combattent pour les Juifs.

Les valeurs aryennes des Na’vis

A la différence de la plupart des dirigeants de la RDA, les Na’vis présentent de nombreuses caractéristiques associées aux Indo-Européens (et aussi à d’autres sociétés nobles). Leurs tribus ont un système de caste tripartite comme celui décrit par Georges Dumézil, avec un chef guerrier, un chamane, et des membres ordinaires (qui sont aussi des guerriers). Ils valorisent la force, le courage et l’honneur, les valeurs aryennes fondamentales.

Les hommes doivent subir une initiation dont Neytiri, la partenaire du héros, dit : « Chacun est né deux fois. La seconde fois c’est quand tu mérites ta place dans le peuple pour toujours ». L’initiation rappelle des cérémonies connues dans toutes les cultures indo-européennes, car comme dans d’autres traditions, les Na’vis doivent monter jusqu’aux îles flottantes, où un animal sauvage doit être dompté.

Comme les anciens Européens, la principale tribu na’vi dans le film est un groupe de chasseurs-cueilleurs, et non des nomades sémites. Ils respectent la terre, au lieu de la piller et de partir plus loin. Et aussi comme les cultures européennes du passé [6], les Na’vis accordent aux femmes une position relativement élevée dans la tribu et ne sont pas aussi xénophobes que les travailleurs de la société avec leurs valeurs juives. De plus, les Na’vis ne sont pas gouvernés par leurs passions animales, comme c’est généralement le cas pour de nombreuses races ; au contraire, ils s’accouplent pour donner la vie (un trait distinctement européen).

Les Na’vis sont profondément spirituels et ont un grand respect pour leur environnement, faisant écho à l’environnementalisme des païens, des hindous et, dans des temps plus récents, des romantiques et de tout le mouvement völkisch et des politiques nationales-socialistes. Selon le site web des Nations Aryennes [7], le triple devoir aryen est envers le peuple, la Nature, et le Cosmos. Il pourrait décrire les Na’vis lorsqu’il affirme : « Ce devoir aryen nous commande de respecter la Nature, et les diverses créations de la Nature. Cela signifie… tenter de vivre d’une manière équilibrée en restreignant notre avidité, notre désir de possessions matérielles, et en respectant les traditions et la culture de nos ancêtres ».

Il y a évidemment des caractéristiques na’vi qui ne répondent pas au modèle aryen (leur religion est plus chtonienne, par exemple), mais ils possèdent certainement plus de qualités aryennes traditionnelles que les industriels humains avides décrits dans le film.

La dichotomie erronée de la mentalité du « Les Blancs ont toujours raison »

Les Na’vis ont de nombreuses caractéristiques en commun avec non seulement les Aryens, mais aussi avec d’autres grandes cultures. De nombreux critiques ont souligné les similarités avec les Américains Natifs, par exemple. En tant que Nationalistes Blancs, il est utile à notre cause de comprendre que les Aryens ne sont pas la seule grande culture, et de ne pas se lamenter quand nous voyons d’autres races décrites sous un bon jour.

Un des principaux reproches que les critiques nationalistes font à Avatar, c’est que le film décrit des Blancs comme de méchants colonialistes. Mais la vérité est que dans l’histoire il y a eu des époques où notre race a agi brutalement. Le traitement infligé aux Américains Natifs, par exemple, n’est pas le plus brillant chapitre de l’histoire blanche, et nous avons été justement punis pour cela.

Mais se cramponner à l’idée que « les Blancs ont toujours raison » est une erreur. Nous n’avons pas à nous identifier à des membres de notre race qui ont trahi les valeurs aryennes. Faire cela, c’est nous mettre dans une position défensive coupable chaque fois que des Blancs se comportent mal sur l’écran. En fait, tenter d’expliquer les injustices par des explications compliquées fait ressembler les Blancs à des enfants qui ne veulent pas s’excuser, simplement par dépit. Au lieu d’essayer de justifier les actes de nos ancêtres qui ne sont pas en accord avec le sens de l’honneur aryen, nous devrions dépasser les erreurs du passé et tenter de les surmonter dans le futur. Jouer les victimes et se plaindre doit être laissé à ceux qui sont moins nobles.

Une autre sorte de traîtres à la race

Une scène à la fin du film a provoqué un grand nombre de protestations disant qu’Avatar est anti-blanc. Le colonel blanc hurle au héros : « Quel effet ça fait, de trahir ta race ? ». La déduction que beaucoup font, c’est que le héros a trahi la race humaine pour combattre aux cotés des étrangers. Mais en fait, c’est le colonel qui a trahi sa race, et qui est devenu juif en esprit. C’est une marionnette militaire, de la même manière que beaucoup de voyous blancs dans l’armée sont de simples marionnettes d’Israël. Le héros, par contre, défend la terre d’un peuple et agit avec honneur, vérité et courage ; de cette manière, il manifeste les qualités d’un véritable Aryen.

La société commerciale d’Avatar, avec ses humains ressemblant à des Juifs et ses mercenaires de toutes couleurs, n’est pas seulement une présentation désagréable de « nous » [= les Blancs] ; elle est ce contre quoi nous combattons – le vol de nos terres par des capitalistes avides qui voudraient détruire nos foyers et notre culture par amour du profit. Ce sont ceux qui ne comprennent pas nos religions, qui détruisent notre environnement, et qui tentent d’effacer le souvenir de nos ancêtres.

Comme le suggère le succès du film, le grand public est lassé de cela aussi – les gens sont toujours fascinés par les mythes épiques, les héros et les hommes d’honneur, et comme les Na’vis, ils voudraient pouvoir combattre le capitalisme insensé. En fait, si l’on y réfléchit un peu, on réalise qu’Avatar n’est pas du tout un film sur la « culpabilité blanche ». C’est une fiction collective décrivant le combat pour reprendre notre terre à la machine industrielle et pour garder en vie nos traditions. La popularité d’Avatar nous donne l’espoir que les gens seront bientôt prêts à être réveillés et à combattre pour une juste cause.