Les Juifs & l’esclavage :
Trois livres par la Nation de l’Islam

[1]

L’avis de vente d’esclaves de Sodowsky, 1832

2,951 words

English original here [2]

Pris dans une avalanche de propagande et de discrimination anti-blanches, on oublie facilement que les Juifs et les gouvernements ont d’autres ennemis, d’autres gens qu’ils haïssent à coté des Blancs. 

Un tel groupe estla Nationde l’Islam (Nation of Islam, NOI), une organisation religieuse noire américaine fondée en 1930. Son quartier-général national,la Mosquée Myriam[Mosque Maryam], est situé à Chicago. L’actuel leader dela NOIest Louis Farrakhan, 79 ans, né Louis  Eugene Wolcott dans le Bronx, mais élevé à Boston. Elevé dans l’Eglise épiscopalienne, il suivit les cours de l’Ecole Latine de Boston. A partir de l’âge de six ans il reçut une solide formation de violon.

Chose intéressante, Farrakhan, comme le fameux nationaliste noir Marcus Garvey, est d’ascendance afro-caribéenne : sa mère était née à Saint Kitts and Nevis et son père, un chauffeur de taxi, était de la Jamaïque. Les Noirs américains et les Noirs  afro-caribéens sont socialement et ethniquement distincts [3].

Avant de rejoindrela Nationde l’Islam en 1955, il travailla comme musicien professionnel. Farrakhan est haï par les Juifs, et a longtemps été la cible de puissants groupes de haine comme l’ADL et le SPLC.

Les Juifs détestent aussila Nationde l’Islam elle-même. En 1942 un dossier secret de l’ADL, « Temple of Islam Infiltration », disait qu’« un Nègre employé par nous » s’est révélé « très instrumental » dans une descente du FBI à la mosquée de  Chicago, qui entraîna 82 arrestations. En 1959 le Comité Juif Américain envoya des espions noirs dela Ligue Urbainepour se renseigner sur une apparition du leader dela NOIà l’époque, Elijah Muhammed, à Newark.

Je ferai ici un bref survol de trois livres publiés parla Nationde l’Islam, qui devraient être du plus grand intérêt pour les lecteurs blancs.

 

[4]

La relation secrète entre Noirs et Juifs [The Secret Relationship Between Blacks and Jews], volume 1

The Secret Relationship Between Blacks and Jews, vol. 1 [5] (Boston: The Historical Research Department of the Nation of Islam, 1991), 334 p.

Ce livre maintenant célèbre, se basant principalement sur les travaux de spécialistes juifs reconnus, démontre méticuleusement et avec une formidable documentation que les Juifs étaient au centre même de la traite transatlantique en tant que marchands, financiers, expéditeurs, et assureurs. Ils vendaient aussi les produits du travail des esclaves sur les marchés internationaux.

Ce classique clandestin est d’une crédibilité incontestable. Il raconte une histoire fascinante et auparavant invisible que tout Américain instruit devrait connaître.

D’après la NOI, il y a une « affirmation persistante mais mythologique selon laquelle les Juifs étaient soit des compagnons de souffrance soit des spectateurs innocents » durant la période de l’esclavage (comparez l’alignement des Juifs avec les Aborigènes [6] contre les Blancs dans la propagande australienne actuelle : « [Nous sommes] deux peuples avec des histoires de dépossession et d’humiliation et de tueries qui se reconnaissent l’un l’autre, qui trouvent des points d’intersection et des   parallèles »).

Le premier tiers de Secret Relationship raconte le rôle des Juifs dans l’esclavage colonial en Amérique du Sud et dans les Caraïbes, le deuxième tiers celui de l’esclavage dans l’Amérique du Nord coloniale et dans le Sud d’avantla Guerre de Sécession. Les 100 dernières pages contiennent une liste alphabétique et de courtes  biographies avec d’abondantes notes en bas de page sur des douzaines et des douzaines d’importants Juifs impliqués dans l’esclavage.

Leur rôle n’était pas faible. Les Juifs étaient particulièrement actifs en-dehors des frontières actuelles des Etats-Unis, au Brésil et dans les Caraïbes.

Les Juifs d’Amérique du Nord possédaient des serviteurs noirs et les planteurs juifs du Sud faisaient travailler la terre par des esclaves noirs.

« En 1820 », écrivit l’historien Jacob Rader Marcus en 1989, « plus de 75% des familles juives de Charleston, Richmond, et Savannah possédaient des esclaves, employés comme serviteurs domestiques ; presque 40% de tous les propriétaires juifs au Etats-Unis possédaient un esclave ou plus ».

Réfutant les arguments selon lesquels les archives des recensements US confirmeraient seulement un niveau « modeste » de propriétaires d’esclaves parmi les Juifs, les auteurs soulignent que les Juifs avaient deux fois de chances que les Américains Blancs de posséder des esclaves.

De plus, les marchands juifs vendaient des douzaines, et même des centaines d’esclaves lors de ventes aux enchères, faisant leur inventaire des biens meublés aussi rapidement que possible pour maximiser les profits. La brève possession par des marchands d’esclaves de ce genre n’est pas saisie dans les archives des recensements.

Non seulement il n’y eut aucune protestation contre l’esclavage pratiqué par les Juifs sudistes, mais très peu de Juifs ailleurs aux Etats-Unis protestèrent contre l’esclavage pour des raisons morales.

Aujourd’hui, écrit la Nationde l’Islam, The Secret Relationship Between Blacks and Jews « peut être trouvé dans les collections de toutes les grandes bibliothèques universitaires, incluant celles des collèges et des universités dela Ivy League ».

Dès sa publication, le livre rendit les Juifs hystériques. L’ADL lui consacra une longue tentative de réfutation, et pas moins de trois attaques de la longueur d’un livre, de la part d’auteurs juifs, furent diffusées par de grands éditeurs, incluantla New YorkUniversity Press et Transaction Publishers. Des articles hostiles furent aussi publiés dans des journaux spécialisés. Des universitaires blancs sympathisants comme David Brion Davis de l’Université de Yale, philosémite et converti au judaïsme, furent enrôlés dans la cause, tout comme l’Oncle Tom de service à l’Université de Harvard, Henry Louis Gates, Jr.

Dans un acte dégradant d’autolégitimation, l’Association Historique Américaine (AHA) publia une déclaration publique au nom de trois influents membres juifs, condamnant tout récit historique « alléguant que les Juifs auraient joué un rôle disproportionné dans la traite atlantique des esclaves ». La déclaration de l’AHA est fréquemment citée comme faisant « autorité », pour miner la légitimité du livre.

Dans le récit conventionnel de l’académie et de l’AHA concernant l’esclavage, les Juifs figurant dans l’histoire disparaissent, ne laissant apparaitre que des coupables chrétiens et européens.

En plus des attaques polémiques générales publiées sous un déguisement académique, les Juifs attaquèrent violemment leurs ennemis sur le plan personnel.

L’une des victimes conserva des preuves de ce qu’il supporta. Tony Martin, spécialiste de Marcus Garvey, du Wellesley College, écrivit The Jewish Onslaught: Despatches from the Wellesley Battlefront [7] (Dover, Mass.: The Majority Press, 1993).

Martin est lui aussi un Noir afro-caribéen, né à Trinidad et Tobago.

Il utilisa The Secret Relationship Between Blacks and Jews dans son cours d’histoire afro-américain à Wellesley. En janvier 1993, il dit :

« Le long bras de l’intolérance juive atteignit ma salle de classe. A mon insu, trois étudiants membres de l’organisation juive Hillel (camarades de campus du B’naï B’rith de l’Anti-Defamation League) s’assirent dans ma classe et restèrent seulement pendant une période limitée). Leur but était de surveiller ma présentation. Comme l’un d’entre eux l’expliqua plus tard dans une réunion de campus, des étudiants juifs avaient remarqué The Secret Relationship Between Blacks and Jews parmi mes suggestions dans la bibliothèque de l’école. »

Mary Lefkowitz, professeur de lettres classiques à Wellesley (elle écrivit plus tard le livre anti-afrocentrique Not Out of Africa [1996]), lança aussi une attaque publique contre Martin. Tous deux s’étaient déjà lancés dans une querelle publique concernant un article qu’elle avait écrit pour The New Republic, contestant les récits afrocentriques de l’ancienne histoire grecque. Martin, qui est avocat formé au Gray’s Inn de Londres, attaqua Lefkowitz en justice (à juste titre, semble-t-il) pour diffamation.

Dans le combat légal de six ans qui s’ensuivit, et que Martin perdit finalement (la plainte fut rejetée), Lefkowitz jouit du soutien financier et légal dela LigueAntiDiffamation, du Comité Juif Américain, du Congrès Juif Américain, et du Conseil Juif pour les Affaires Publiques. Ce ne fut pas un combat loyal sur le pour et le contre, mais un gang de brutes frappant et battant leur victime.

Montrant un grand courage personnel et sa dévotion à la liberté d’expression, le professeur Martin parla devant l’Institute for Historical Review durant son apogée, àla Conférencepour l’Histoire Réelle de David Irving à Cincinnati en 2001, et servit de témoin à Ernst Zündel devant le Tribunal canadien des Droits de l’Homme. Sa préoccupation n’était pas le révisionnisme, mais la suppression systématique de la liberté d’expression.

Le livre de Martin fournit une étude sérieuse et détaillée de la manière dont les Juifs usèrent de leur puissance contre un universitaire noir, de même que le livre de l’ancien Représentant US Paul Findlay (R.-III), They Dare to Speak Out: People and Institutions Confront Israel’s Lobby (1985) est un manuel utile détaillant les nombreux assauts contre les critiques de gauche des politiques israéliennes. Les Blancs peuvent étudier et apprendre avec profit ces études du terrorisme intellectuel juif, parce que les Juifs emploient sans cesse les mêmes tactiques.

Un site web noir écrivit [8] concernant The Secret Relationship Between Blacks and Jews :

« C’est seulement après la révélation [par les chercheurs de la Nationde l’Islam] de l’implication importante des Juifs que leurs spécialistes (et leurs malicieux valets et porte-paroles noirs) cherchèrent à souligner les actions des autres (c’est-à-dire, des chefs tribaux africains, des trafiquants africains [la NOI a remarqué que d’importants  marchands dans la traite esclavagiste arabe étaient des Juifs ! [9]], des dénommés Noirs « libres », etc., dans une tentative de changer le sujet d’étude de la discussion  et de la recherche documentée.

Il est étrange qu’avant les recherches faites parla Nationde l’Islam, ceux qui avaient étudié l’histoire et cet aspect critique de l’impact de la traite transatlantique sur la société américaine se satisfaisaient parfaitement de laisser porter le blâme uniquement par les Protestants Anglo-Saxons Blancs (WASP) du Sud. »

 

[10]

La relation secrète entre Noirs et Juifs [The Secret Relationship Between Blacks and Jews], volume 2

The Secret Relationship Between Blacks and Jews, vol. 2: How Jews Gained Control of the Black American Economy) [11] (n.p.: The Historical Research Department of the Nation of Islam, 2010), 509 pp.

Dans la Préfacedu second volume, les auteurs soulignent que depuis le début du XXe siècle, presque tous les leaders noirs ont à un moment ou un autre de leur carrière publique, été traités d’« antisémites ».

On peut citer les exemples de Booker T. Washington, W. E. B. Du Bois, Marcus Garvey, Martin Luther King, Jr., Malcolm X, Nelson Mandela, l’évêque Desmond Tutu, Julian Bond, Kwame Ture (Stokely Carmichael), Andrew Young, Kweisi Mfume, Al Sharpton, Jesse Jackson, Joseph Lowery, John Hope Franklin, James Baldwin, Richard Wright, Julius Lester, Alice Walker, Michael Jackson, Spike Lee, le rappeur Ice Cube, Arsenio Hall, Muhammad Ali, le groupe hip hop Public Enemy, Oprah Winfrey, et Barack Obama.

Cela a atteint un point où tout Noir important « doit d’abord déclarer publiquement qu’il prend une distance galactique avec les dirigeants noirs dénoncés » comme antisémites par les Juifs. La même chose est vraie pour les Blancs, bien sûr.

Le bobard de l’« antisémitisme » (avec celui, dans le cas des Blancs, du « racisme ») a été terriblement efficace. Les Juifs l’ont appliqué maintes et maintes fois à presque tout le monde dans la vie publique.

Comment peut-il conserver son efficacité mortelle en étant employé si fréquemment et si légèrement. Ses nombreuses victimes, membres de toutes races et religions sous le soleil, sont soumises à des tensions psychiques et émotionnelles extrêmes, et subissent de sérieux dommages pour leur réputation, leur carrière et leurs moyens de subsistance dès que les Juifs portent l’accusation. Mais aussi fréquente que soit son utilisation, elle ne vieillit jamais.

Pourquoi l’accusation infondée fonctionne-t-elle ? Comment transforme-t-elle des hommes et des femmes en lèche-bottes et en flagorneurs dociles, prêts à abandonner leurs propres principes, leur propre peuple ou leurs convictions religieuses pour apaiser leurs persécuteurs juifs ?

Dans un monde blanc ou noir, un coup monté aussi ringard, asséné sans cesse par une petite bande de criminels, aurait perdu depuis longtemps toute efficacité.

Le principal objectif du volume deux est d’élucider l’influence politique, économique et sociale cachée des Juifs dans le Sud d’aprèsla GuerreCivile, entre 1860 et 1925. Leur influence était étonnement étendue.

Une liste d’officiels juifs dans chaque Etat, compilée d’après de nombreuses sources spécialisées, occupe neuf pages en petits caractères.

Les Juifs furent élus à des postes de responsabilité en nombre étonnamment grand dans le Sud. Les officiels juifs aidèrent à créer et à appliquer les lois sur la ségrégation.

Une liste abrégée de banquiers juifs dans le Sud occupe huit pages. Les auteurs notent que le réseau bancaire juif n’était pas limité au Sud, mais qu’il s’étendait à toutes les régions du continent où les Juifs s’installèrent et lancèrent des affaires commerciales.

Il y a une discussion détaillée sur le Ku Klux Klan ainsi que sur les politiciens sudistes racistes, l’attitude des deux envers les Juifs, et le rôle juif substantiel dans le racisme sudiste.

Cette analyse soulève des questions intéressantes sur la structure du racialisme blanc. Par exemple, il est bien connu que le Ku Klux Klan d’origine était franc-maçonnique, philosémite, et acceptait les Juifs comme membres. Mais une démonstration convaincante est faite que même le second Klan des années 1920 n’était pas antijuif.

De même, le livre montre que plusieurs politiciens blancs racistes bien connus étaient soit philosémites soit indifférents au pouvoir juif (la plupart étaient philosémites).

Parmi ces individus incluaient le sénateur US « Cotton Ed » Smith (D.-S.C.), le sénateur US Robert Reynolds (D.-N.C.), Eugene et Herman Talmadge de Géorgie, le sénateur Theodore Bilbo (D.-Miss.), le Démocrate Josephus Daniels (anti-noir et horriblement philosémite), le sénateur Tom Watson (D.-Ga.), le sénateur « Pitchfork Ben » Tillman (D.-S.C.), et d’autres. George Wallace n’est pas mentionné parce qu’il se trouve en-dehors de la période couverte par le livre, mais je connais très bien sa carrière. Lui aussi était fortement anti-noir (avant d’être rendu infirme par la balle d’un assassin) et philosémite.

Il est clair que les « racistes » blancs ne sont pas forcément tous des atouts valables pour la cause anti-génocidaire.

Un modèle aussi persistant pourrait-il signifier une division fondamentale dans la conscience collective des Blancs ? Peut-être est-il fallacieux de supposer que le « racisme » générique qui accepte chaudement (ou ignore) les Juifs d’une part, et l’opposition au pouvoir juif d’autre part, ont une relation profonde et nécessaire l’un avec l’autre. Ils pourraient même aller dans des sens opposés.

Finalement, un thème majeur du livre est que les droits de gage, le métayage et autres aspects de la loi commerciale dans le Sud facilitait l’exploitation économique des Noirs par les Juifs (et les Blancs). Ces lois, dit le livre, étaient des adaptations des antiques lois juives trouvées dans le Talmud, qui est décrit comme un « manuel commercial pour le peuple juif ».

Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’exploitation économique des Noirs du Sud aprèsla GuerreCivilefut absolument impitoyable et dénuée de scrupules.

 

[12]

Juifs vendant des Noirs

Jews Selling Blacks: Slave Sale Advertising by American Jews [13] (n.p.: Historical Research Department of the Nation of Islam, 2010), 144 pp.

Ce volume faisant suite à The Secret Relationship Between Blacks and Jews, présenté comme « la plus grande collection de pubs juives de ventes d’esclaves [noirs] jamais publiée », est une collection illustrée de 283 pubs tirées de journaux américains couvrant plus d’une centaine d’années.

Il montre des Juifs cherchant à acheter des centaines de Noirs ; des Juifs vendant des Noirs avec des garanties, un financement bancaire, poursuivant les esclaves fugitifs, vendant des « jeunes filles », des « familles », des « bandes », des « petits enfants » ; et des Juifs vendant des plantations entières, esclaves compris. Les Juifs en question étaient des dirigeants de synagogues et des pères fondateurs respectables de la communauté juive américaine d’aujourd’hui.

Une brève promo sur YouTube pour le livre [14] [3:00 minutes] remarque que « Le plus grand trafiquant blanc d’esclaves était Franklin & Armfield . . . mais ils opérèrent dans le Sud pendant seulement huit ans. Les trafiquants d’esclaves juifs opérèrent à tous les endroits où l’esclavage existait. . . L’Amérique du Nord, l’Amérique du Sud, les Caraïbes, l’Europe, l’Afrique – pendant 400 ans ».

La promo, qui n’est pas particulièrement remarquable ou scandaleuse, a été postée il y a seulement un mois et sera probablement supprimée. Le géant des médias internet Google [15], le propriétaire du site, est une corporation juive qui censure les téléchargements vidéo pour des raisons raciales et idéologiques, en conjonction avec l’ADL.

La compagnie a déjà censuré une promo pour Jews Selling Blacks. Sur l’emplacement pour la vidéo interdite, on peut lire : « Cette vidéo a été supprimée pour violation de la politique de YouTube interdisant les discours de haine ». (article d’informations et capture d’écran sur le site web du Groupe de Recherche de la NOI [16])

Bien quela NOIait accepté de déplacer le clip supprimé vers son propre site, sur YouTube il pouvait potentiellement être vu par un très grand nombre de visiteurs, alors que sur le nouveau site seule une audience assez faible et déjà réceptive au message a des chances de le voir.

Les spécialistes noirs qui écrivirent ces livres précieux, bien que n’étant pas amis de l’homme blanc et bien qu’étant partisans de leur propre peuple, font généralement preuve d’une objectivité admirable, associée à une détermination de voir le passé historique dans son entièreté et sa pleine complexité. Ils auraient facilement pu prendre la voie sûre et conventionnelle et répéter des insultes anti-Blancs et ignorer entièrement le rôle des Juifs. Mais ils ne le firent pas.

Ces ouvrages passionnants mirent en lumière des faits sur les Juifs et les Noirs que les non-Juifs doivent absolument comprendre pour voir cette facette cruciale de l’histoire sous la bonne perspective.

Ces livres sont des antidotes partiels aux mensonges académiques et médiatiques dominants – et de sacrées bonnes lectures en plus de ça !

Sites web