L’extinction des blancs

GirlDoves [1]2,640 words

English original here [2]

Le nationalisme blanc prétend fréquemment que le système politique et social actuel a mis notre race sur la voie de l’extinction biologique. Si les tendances actuelles ne sont pas inversées, les blancs disparaîtront comme race distincte.

Pour beaucoup de blancs, cela semble être une affirmation absurde et alarmiste, étant donné qu’il y a entre 700 millions et un milliard d’entre nous sur cette planète aujourd’hui. Une partie de ce scepticisme est, je crois, un simple déni psychologique face à une perspective désagréable. Les non-blancs montrent rarement du scepticisme à propos de l’extinction des blancs. En effet, nos ennemis considèrent notre éventuelle disparition comme garantie et exultent ouvertement de notre déclin.Je souhaite soutenir, en revanche, que l’extinction des blancs n’est pas une fantaisie alarmiste, mais un fait alarmant, la conclusion inévitable de l’analyse sobre et informée. Puisque mes yeux roulent dès que quiconque recourt à un modèle mathématique, à des tableaux et des graphiques, et à du jargon technique, je vais construire mon argumentation dans les termes les plus simples. Premièrement, j’arguerais que l’extinction des blancs est une idée plausible, pas une tirée par les cheveux ou fantaisiste. Ensuite, j’arguerais qu’étant donné les tendances actuelles, l’extinction des blancs n’est pas juste possible, mas inévitable.

Les biologistes affirment que jusqu’à 99,9% des espèces ayant existé sur cette planète sont désormais éteintes. De plus, de nombreuses espèces ont bénéficié d’importants avantages sur les blancs. Ainsi, la plupart des espèces éteintes ont existé bien plus longtemps que notre race avant de faire face à l’extinction. La durée de vie moyenne des espèces est de 10 millions d’années, alors que les blancs n’existent que depuis environ 40 000 ans. Certaines espèces éteintes ont existé en nombre bien supérieurs que les blancs aujourd’hui. Par exemple, en 1866, un seul vol de pigeon voyageur fut observé dans le sud de l’Ontario. Le vol faisait 1,5km de large, 500km de long et mis 14 heures à passer. Il est estimé qu’il contenait 3,5 milliards d’oiseau, ce qui est 3,5 à 4 fois davantage que l’ensemble de la population blanche dans le monde aujourd’hui. Moins de 50 ans plus tard, en revanche, l’espèce entière fut éteinte du fait de la chasse et de la perte d’habitat. En 1914, Martha, le dernier pigeon voyageur du monde, mourut au zoo de Cincinnati.

Certaines espèces vivantes existent depuis très longtemps, ne connaissant que des changements mineurs. Les limules existent depuis autour de 450 millions d’années. Le coelacanthe, un poisson, existe depuis 400 millions d’années. La lamproie est là depuis 350 millions d’années. Le sphénodon, de Nouvelle Zélande, existe depuis 200 millions d’années. Mais d’après l’histoire naturelle, nous pouvons dire que simplement parce qu’elle existe, il y a 99,9% de chance que notre race s’éteigne. Si nous voulons êtes parmi les survivants de long terme, nous ne pouvons certainement pas jute dépendre de la chance.

Les êtres humains – les blancs en particulier – ont un avantage sur les autres espèces : notre intelligence et notre créativité nous permettent de découvrir et de vaincre les causes de l’extinction. Malheureusement, cette même intelligence est actuellement utilisée pour créer des conditions artificielles qui favorisent l’extinction des blancs. Les extinctions sont divisées entre les naturelles (comme les dinosaures) et celles causées par l’Homme (comme le dodo et le pigeon voyageur). L’extinction des blancs n’est pas naturelle, mais causée par l’Homme. Donc, si notre race doit survivre, la première chose que nous devons faire n’est pas de vaincre la nature, mais d’autres hommes.

L’extinction n’est pas simplement la mort de tout les membres d’une race. Après tout, tout les êtres vivants meurent. Mais si tout les membres d’une race meurent sans se rempacer, alors la race devient éteinte. Donc, l’extinction n’est pas simplement la mort – qui nous arrivera à tous – mais l’échec de reproduction. L’extinction est inévitable si une race échoue à se reproduire. L’extinction n’est en vérité que cela : l’échec à se reproduire.

Pour que les populations blanches existantes se reproduisent, chaque couple doit en moyenne faire 2,1 enfants – 2 enfants pour se remplacer eux-même, et 0,1 pour remplacer ceux qui échouent à se reproduire (morts prématurées). L’image de la famille « normale » – père, mère, et deux enfants – est actuellement le visage heureux, souriant, de l’annihilation raciale, parce que si la fertilité inférieure au taux de remplacement persiste assez longtemps – si davantage de personnes meurent que de personnes ne naissent – notre race cessera éventuellement d’exister. Si vous retirez des unités d’un ensemble fini assez longtemps, vous atteindrez zéro. Si vous retirez régulièrement plus d’argent de votre compte en banque que vous en déposez, vous atteindrez zéro. C’est une simple nécessité mathématique, de l’arithmétique de premier ordre.

Avoir un troisième enfant est la différence entre contribuer à la mort ou à la croissance de notre race. Les nationalistes blancs doivent donc faire tout en leur pouvoir pour créer une nouvelle image « normale » d’une famille avec trois enfants blancs, à l’opposé de la famille à un ou deux enfants. Malheureusement, les taux de natalité blancs, globalement et dans chacun des pays blancs, sont en dessous des taux de remplacement. Cela signifie que l’extinction des blancs est inévitable si les tendances actuelles ne sont pas inversées.

Quelles sont les causes de l’échec reproductif, c’est à dire de l’extinction ? Les biologistes nous donnent quatre causes de base :

  1. La perte d’habitat, c’est à dire de l’environnement nécessaire pour que l’espèce puisse se nourrir et se reproduire. La perte d’habitat peut se produire par un changement géologique soudain ou lent, ou un changement climatique, par la perte de sources de nourriture, etc.
  2. Les espèces invasives, c’est à dire la compétition pour les ressources par une autre espèce dans la même niche écologique
  3. L’hybridation, c’est à dire la reproduction, mais pas la reproduction du type biologique distinct. L’hybridation n’est possible que si une espèce suffisamment similaire envahit la niche écologique.
  4. La prédation excessive, c’est à dire qu’une espèce est tuée plus vite qu’elle ne peut se reproduire. La prédation inclut les épidémies. Une prédation excessive est, en pratique, un génocide : le meurtre de la totalité d’un groupe.

Le génocide en revanche, peut être divisé en des variétés chaudes et froides. Le génocide chaud est l’extermination rapide et violente d’un groupe. Le génocide froid est la lente destruction d’un groupe simplement en établissant des conditions qui rendent sa survie à long terme impossible. Le génocide froid pourrait donc aussi inclure les autres causes d’extinction : perte d’habitat, espèces invasives, et hybridation.

Toutes ces causes d’extinction peuvent être naturelles ou causées par l’Homme.

Examinons maintenant l’extinction en cours au regard de ces quatre causes biologiques.

Perte d’habitat : la conquête de la nature par la science et la technologie blanches semble avoir étendu les habitats des blancs. L’homme peut vivre aux pôles Nord et Sud, sous les océans et même dans l’espace. Il est concevable qu’un jour nous serons capable de transformer d’autres planètes en habitats pour les humains. Mais il y a une cause du fait de laquelle la reproduction des blancs souffre d’une perte d’habitat : les blancs ne se reproduisent pas dans les environnements dangereux, et l’une des plus grandes causes d’habitat dangereux pour la reproduction est la présence de non-blancs.

Certes, dans le passé, les blancs avaient de haut taux de natalité en étant entourés par des non-blancs. Mais ces non-blancs étaient en esclavage ou autrement subordonnés et forcés à imiter les standards de comportement blancs. Donc les blancs se sentent en danger spéficiquement autour des populations non-blanches libres et sauvages. La recherche d’espaces sûrs de reproduction des blancs est l’une des forces motrices derrière la suburbanisation et la périurbanisation depuis l’effondrement de la suprématie blanche, l’émancipation des populations non-blanches locales et l’invasion des terres blanches par des immigrants non-blancs.

L’on pourrait arguer que la simple présence de non-blancs dans les espaces de reproduction des blancs n’est pas suffisante pour éliminer la fertilité blanche, puisque les non-blancs sont craints spécifiquement comme sources potentielles de compétition des ressources, hybridation, et prédation, ce qui nous ramène aux autres cause de l’extinction des blancs.

Espèces invasive : les blancs dans virtuellement toutes les nations blanches font face à la compétition démographique d’immigrants non-blancs. Même si l’immigration non-blanche était coupée, les blancs feraient encore face à la compétition démographique des populations non-blanches existantes, qui sont généralement plus fertiles que les blancs.

Hybridation : le métissage – littéralement « mauvais tissage » -, ou mélange racial, est une forme de reproduction, au sens où les deux parties transmettent leurs gènes à la génération suivante. Mais l’hybridation cause simultanément l’extinction raciale, puisqu’elle échoue à reproduire le type racial.
Elle est inévitable si différentes races humaines sont autorisées à s’associer librement dans le même environnement. C’est pourquoi dans le passé, quand l’integrité raciale était valorisée, il y avait des barrières sociales et légales au métissage dans les sociétés multiraciales. Ces barrières ont été balayées.

Mais les gens ne sont pas simplement « libres » de se métisser. Le métissage est activement encouragé par les médias et le système éducatif.

Le métissage est aussi forcé contre les blancs par le viol interracial, qui est quasiment toujours perpetré par des hommes non-blancs sur des femmes blanches. Cette forme de viol est aussi activement promue par des phénomènes culturels comme la pornographie et l’entretien du ressentiment des non-blancs contre les blancs, et par des politiques qui encouragent l’immigration non-blanche, l’assimilation des populations blanches et non-blanche, et échoue à contrôler et punir adéquatement les criminels non-blancs. Heureusement, la plupart des blanches victimes de viol ont accès à l’avortement.

Prédation : les blancs ne sont actuellement pas sujet à un génocide rapide et global, mais la présence de populations non-blanches larges, hostiles, violentes, non segréguées, et mal surveillées contribue à l’extinction des blancs en causant les meurtres d’enfants blancs et d’adultes fertiles, et en causant d’autres blancs à restreindre leur fertilité du fait d’un environnement de reproduction dangereux.

Dans le cas de l’extinction des blancs, toutes ces causes viennent des Hommes. Les blancs souffrent d’une perte d’habitat, d’une invasion, d’hybridation et de prédation de la part des non-blancs parce que des politiques ont démantelé la suprématie blanche et la segrégation dans les sociétés multiraciales, promu l’immigration non-blanche dans des société précédemment blanches, démantelé les barrières au métissage et l’ont activement promu, et promu la prédation non-blanche en important et/ou émancipant et intégrant les populations non-blanches et en échouant à maintenir l’ordre et à les punir adéquatement.

En plus des causes purement biologiques de l’extinction des blancs, nous faisons aussi face à des causes culturelles particulières. Celles-ci peuvent être réunies en deux catégories simples : idéologiques et technologiques. Les causes idéologiques de l’extinction des blancs incluent l’individualisme, le célibat, le féminisme et autres formes de confusion sur le rôle des sexes, l’environnementalisme mal placé [3], la diabolisation des blancs et la culpabilité, qui toutes promeuvent l’échec reproductif. De telles idéologies étaient, bien sûr, une faible menace à la survie des blancs avant l’invention de technologies abordables et fiables de contrôle des naissances.

D’une certaine manière, c’est une chance que les causes de l’extinction des blancs soient humaines, parce que toutes sont à notre portée pour être corrigées. Il y a deux choses que nous devons faire.

A court terme, nous devons accroître les taux de natalité blancs. Ce n’est pas une solution de long terme, parce que le problème n’est pas qu’il y a trop peu de blancs mais qu’il y a trop de non-blancs. D’un point de vue écologique, une population stable d’un milliard ou même d’un demi-milliard de blancs n’est pas nécessairement une bonne chose. Nous ne pouvons pas définir la victoire comme une course démographique avec les non-blancs à reproduction rapide jusqu’à ce que le globe deviennent un désert.

Mais à court terme, nous devons arrêter le déclin de notre race jusqu’à ce que nous puissions mettre en oeuvre les solutions de long terme. Quand mes ancêtres sont arrivés pour la première fois en Virginie dans la deuxième décennie du 17ème siècle, nous appartenions à une petite minorité sur ce continent [ndt : l’auteur vit aux Etats-Unis]. Mais nous l’avons conquis, en partie parce que derrière nous il y avait l’énorme momentum démographique des populations bourgeonnantes dans nos terres d’origine. Cela serait une aide énorme si les blancs avaient à nouveau ce type de vent démographique dans leurs voiles à nouveau.

A long terme, en revanche, le nationalisme blanc est la seule solution réelle pour le problème de l’extinction des blancs.

Les causes biologiques de l’extinction des blancs peuvent être traitées par la création de patries blanches homogènes, que ce soit par la partition raciale et des schémas de sécession, ou part la déportation des populations non blanches. Des patries blanches homogènes sécuriserait l’habitat blanc et élimineraient tout simplement la compétition, l’hybridation et la déprédation des autres races.

Les causes culturelles de l’extinction des blancs peuvent être traitées par l’éduction et les incitations sociales : l’individualisme peut-être remplacé par une éthique de responsabilité raciale ; la confusion du rôle des sexes peut être éliminée par la réassertion des rôles des sexes traditionnels et biologiques : les femmes comme mères et élevant les enfants, les hommes comme protecteurs et fournisseurs ; la culpabilité blanche et l’ethno-masochisme peuvent être remplacés par la fierté blanche et l’auto-affirmation ; la formation abordable d’une famille peut être la pierre angulaire d’une politique sociale, avec des incitations spéciales pour la plus grande reproduction des individus hautement précieux génétiquement ; l’option du célibat, de même que le sexe non-reproductif, pourrait aussi être préservés et promus pour certains comme une part d’une politique eugénique globale, pour décourager la reproduction d’individus avec des problèmes génétiques.

Certaines personnes regardent la création de patries homogènes blanches comme non nécessaires.
Certains peuvent aussi se demander si il est possible pour les blancs de survivre sans patrie ou pouvoir politique, comme petites populations reliques au sein de larges populations non-blanches. Malheureusement, les preuves historiques ne soutiennent pas cette thèse. La critique d’Andrew Hamilton de l’ouvrage Les tribus blanches perdues de Riccardo Orizo [4] indique que de telles populations sont finalement perdues par l’hybridation.

D’autres pourraient arguer que des populations reliques blanches peuvent résister à l’hybridation en adoptant des attitudes hautement ethnocentriques et en ne se mariant qu’au sein du groupe, comme les juifs et les hindous. Le problème avec cette suggestion est que de telles politiques n’ont pas fonctionné pour les juifs ou les hindous. Les juifs sont une population en large part métissée. Mais l’identité juive peut y survivre, car on n’est pas juif par une ascendance purement juive mais simplement par une goutte du sang d’Abraham. Dans le cas des hindous, le système des castes ne fut adopté qu’après qu’une large quantité de métissage ait déjà eu lieu.

Bien sûr, en tant que nationaliste blanc, je pense que c’est une bonne chose pour les blancs d’adopter des attitudes ethnocentriques et d’éviter tout métissage. Mais ces attitudes ne nous sauveront pas si nous sommes réduits à des populations reliques petites et sans pouvoir politique dans un océan de non-blancs. Mais si nous adoptions de telles idées aujourd’hui, le meilleur moyen de les mettre en oeuvre serait la création de patries blanches homogènes.

D’autres encore pourraient arguer que couper l’immigration et revenir à la suprématie blanche, la segrégation, et à des barrières légales et culturelles au métissage serait suffisant. J’admets que de telles politiques seraient des améliorations, mais elles ne constituent pas des solutions de long terme.

Premièrement, si rien n’est fait pour traiter le taux de fertilité blanc inférieur au taux de remplacement et la fertilité non-blanche supérieure, les blancs finiront réduit à de petites populations reliques, comme dans le scénario un. Puis nous nous éteindrons. Deuxièmement, ces politiques ont été testées et ont échoué. L’obsession conservatrice consistant à faire la même chose encore et encore en s’attendant à un résultat différent est la définition de la démence. Si ces politiques sont essayées et échouent à nouveau, notre race pourrait ne jamais s’en remettre.

L’heure est trop tardive pour une telle idiotie. Quand l’existence de notre peuple est en jeu, nous ne pouvons plus nous permettre les demi-mesures conservatrices et la pensée magique. Seul le nationalisme blanc peut prévenir l’extinction des blancs.

Source: https://blancheurope.wordpress.com/2015/10/01/lextinction-des-blancs/ [5]