Pensées sur le 4 Juillet

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Il y a deux semaines, nous avons célébré le 4 juillet, le plus important jour patriotique de l’Amérique. C’est un jour où nous célébrons notre force, où nous nous vantons de nos réussites, où nous nous souvenons de nos victoires, etc. Cela m’a amené à penser à la Seconde Guerre mondiale, et je vais partager quelques-unes de mes réflexions avec vous. 

A cet égard, les Britanniques, nos alliés dans cette guerre, ont aussi été dans mes pensées récemment. Ce qui m’a fait penser aux Britanniques concernant notre célébration du 4 juillet, c’est le fait que seulement deux semaines plus tôt le Parlement britannique a voté une loi abaissant l’âge de consentement à 16 ans pour une activité homosexuelle. Cette nouvelle loi, qui a été approuvée par le Parlement le 20 juin, a fait l’objet d’une intense campagne de la part du lobby « faucon poulet ». Les « faucons poulets » [chicken hawks] sont les homosexuels mâles adultes qui prennent pour cible les jeunes garçons. Ils guettent les garçons au coin de la rue, leur font prendre des drogues ou les font boire, leur donnent de l’argent, et les sodomisent. Jusqu’ici ils pouvaient être arrêtés et jugés pour une telle activité. Plus maintenant. Maintenant c’est légal, si les garçons n’ont pas moins de 16 ans. Les « faucons poulets », dont un certain nombre détiennent en fait des sièges au Parlement, réclament déjà à grand cris que l’âge légal soit abaissé à 14 ans. Avec Tony Blair, un bon ami de Bill Clinton, comme Premier ministre maintenant, les « faucons poulets » obtiendront probablement ce qu’ils veulent.

Mais quel est le rapport avec la Seconde Guerre mondiale ? Je vais vous le dire. Hitler et ses méchants Allemands, voyez-vous, n’approuvaient pas l’activité homosexuelle. Après que Hitler soit devenu Chancelier d’Allemagne en 1933, un homosexuel qui sodomisait un garçon de 16 ans en Allemagne et se faisait attraper avait de gros problèmes, et je veux dire vraiment des gros problèmes. Beaucoup d’homosexuels finissaient dans des camps de concentration, et ils n’en ressortaient pas tous. Même aujourd’hui ils pleurnichent encore sur la manière dont Hitler leur faisait porter des triangles roses et les persécutait. Mais heureusement pour les « faucons poulets », la Grande-Bretagne et l’Amérique entrèrent en guerre contre l’Allemagne, et maintenant les homosexuels ont partout les mêmes droits que les autres. Plus de droits, en fait, que le reste d’entre nous. Si nous n’avions pas combattu pour les droits des homosexuels durant la Seconde Guerre mondiale, les « faucons poulets » n’auraient pas le droit de sodomiser les jeunes garçons aujourd’hui : certainement pas en Allemagne, et probablement pas en Grande-Bretagne ni aux Etats-Unis. La guerre gagnée contre l’Allemagne établit les modes idéologiques pour le monde entier.

Bien sûr, ce n’est pas seulement pour les droits des homosexuels que nous avons combattu durant la Seconde Guerre mondiale. En fait, cet aspect de la guerre fut soigneusement laissé dans l’ombre à l’époque. Ce qu’on nous disait publiquement, c’était tout un chœur enthousiaste sur des choses patriotiques : nous combattions pour l’égalité, contre la destruction des livres, pour la liberté d’expression et la liberté de la presse, pour les droits des femmes et des enfants, etc. Beaucoup de ces excuses pour partir en guerre contre l’Allemagne étaient basées sur des mensonges – ou du moins sur des présentations trompeuses. La destruction de livres, par exemple : chaque Américain a vu des images de livres jetés au feu par des Allemands, et on nous disait que les Allemands ne pouvaient lire que des livres approuvés par le gouvernement. On fit croire aux Américains que les livres brûlés avaient été saisis au domicile des Allemands qui avaient été envoyés dans des camps de concentration pour les avoir possédés, et que c’était illégal de posséder de tels livres en Allemagne.

En fait, les autodafés étaient symboliques ; ils étaient destinés à exprimer la désapprobation publique de certains types de livres : pornographie, propagande communiste et juive, et ce genre de choses. Avant que Hitler devienne Chancelier, les communistes étaient très puissants en Allemagne, les Juifs possédaient de nombreuses maisons d’édition, et la pornographie florissait. Le gouvernement d’Hitler voulait faire un exemple pour le public ; il voulait montrer son attitude envers les livres socialement nuisibles et orduriers. Et donc des autodafés de livres furent mis en scène, et un grand nombre de livres pornographiques – ainsi qu’un grand nombre de livres de Marx et de Freud – fut brûlé pour faire comprendre au public que les goûts littéraires du gouvernement avaient fortement changé quand Hitler était devenu Chancelier. Ce n’était pas illégal de posséder des livres comme ceux qui avaient été brûlés, mais tout le monde comprenait qu’ils étaient considérés comme dégénérés ou socialement nuisibles. C’est seulement après la guerre que des lois furent votées pour interdire complètement la littérature politiquement incorrecte. Par exemple, aujourd’hui, dans l’Allemagne démocratique, il est illégal de tenter de publier ou de distribuer les livres que j’ai écrits, et nous devons donc mettre les éditions allemandes de ces livres sur internet, où les Allemands qui sont suffisamment courageux pour le faire peuvent les télécharger, les imprimer, et les distribuer secrètement à leurs amis. Presque tous les autres livres que les Juifs considèrent comme offensants ou dangereux pour leurs intérêts sont aussi interdits. Il est même interdit d’exprimer certains mots ou certaines idées oralement en public. Il y a littéralement des centaines de prisonniers politiques dans les prisons allemandes pour avoir écrit, ou dit, ou exprimé d’une manière quelconque des idées prohibées. Cela n’est pas arrivé sous Hitler. Cela ne pouvait pas arriver tant que nous n’avions pas battu les Allemands durant la Seconde Guerre mondiale. Et à propos, ne vous attendez pas à ce que Mr. Clinton exprime pour ces actuels prisonniers allemands les mêmes inquiétudes qu’il a exprimées récemment pour les prisonniers politiques chinois. Cela n’arrivera pas.

Ou prenons les droits des femmes et des enfants. Une grande partie de la propagande de guerre produite par le Bureau d’Information de Guerre [Office of War Information] – l’OWI –  fortement juif de Roosevelt durant la Seconde Guerre mondiale était conçue pour que les Américains se sentent moralement supérieurs aux Allemands et qu’ils se sentent le droit de mener une guerre génocidaire contre eux. Je me souviens d’une affiche de propagande très efficace produite par l’OWI. Elle montrait de jolies filles à demi-nues avec des officiers allemands dans un bordel. La légende de l’affiche était : « Délivrez-nous du mal ». L’idée était de faire croire que les Allemands forçaient des jeunes femmes dans les pays occupés par leur armée à travailler comme esclaves sexuelles dans des bordels militaires.

Cette propagande était totalement fausse. Bien que les Japonais aient eu ce genre de comportement, les Allemands ne le firent jamais. Le comportement des Allemands envers les peuples conquis, en ce qui concerne le pillage et le viol, fut plus civilisé que celui de tout autre participant dans la guerre, incluant les Américains. Les gens ayant le pire score à cet égard, bien sûr, furent nos vaillants alliés soviétiques, qui furent délibérément encouragés à violer et à tuer les civils par leur commissaire juif à la propagande de guerre, Ilya

Ehrenburg. J’ai déjà cité quelques-unes des meurtrières exhortations d’Ehrenburg à l’Armée Rouge dans mon émission sur le torpillage du Wilhelm Gustloff.

Une image de cette période qui est gravée dans mon esprit est une photographie d’une fille allemande d’environ 15 ans, dans une gare de Berlin peu après l’occupation de la capitale allemande par les forces alliées victorieuses. La fille blonde vient d’être victime d’un viol collectif, nous dit la légende sous la photographie, et elle est en état de choc, les larmes coulant sur son visage. La photographie fut publiée dans le magazine Life en septembre 1945. J’en ai gardé un vif souvenir pendant plus de 50 ans. Les médias dans ce pays faisaient habituellement le silence sur de telles atrocités. Presque tout ce que les Américains entendaient dans les médias concernait les supposées atrocités commises contre les Juifs par les Allemands. Cette photographie est, autant que je sache, la seule d’une victime allemande qui connut une large circulation, en dépit des centaines de milliers de femmes allemandes violées par les forces de la démocratie à la fin de la guerre. […]

Et aujourd’hui, en conséquence directe de la guerre que nous avons menée contre l’Allemagne, des centaines de milliers d’autres femmes européennes ont été réduites à l’esclavage sexuel par des racketteurs ayant leur Q.G. en Israël. En fait, on peut dire que si l’Amérique n’était pas partie en guerre contre l’Allemagne, il n’y aurait pas de traite internationale des Blanches aujourd’hui. Si la vision allemande des choses l’avait emporté, au lieu de la vision juive – soutenue par la force militaire anglo-américaine et soviétique – il n’y aurait pas de gangs criminels organisés juifs opérant en Europe aujourd’hui, pas de femmes blanches forcées à la prostitution par ces gangs juifs, et pas d’Etat d’Israël pour fournir un Q.G. international à la traite des Blanches. L’Allemagne d’Hitler n’aurait pas toléré l’esclavage des Blancs en Europe, et son exemple et son soutien moral aurait presque certainement permis aux adversaires de l’esclavage des Blancs aux Etats-Unis et ailleurs de l’emporter sur les Juifs. Et pour le moins, les Juifs n’auraient pas pu garder secrète une opération de traite des Blanches, parce que les Allemands auraient certainement alerté le monde entier. A l’heure actuelle, un Allemand qui oserait parler du contrôle juif sur la traite des Blanches serait emprisonné au nom des lois contre les « discours de haine » de l’Allemagne démocratique, et nous devons nous contenter d’allusions occasionnelles du fait des Juifs eux-mêmes, comme l’article sur l’esclavage blanc qui parut dans le New York Times en janvier de cette année, et que j’ai déjà cité dans plusieurs de mes émissions.

Vous savez, tout cela est vraiment secondaire par rapport à la principale justification idéologique pour la Seconde Guerre mondiale, et celle-ci était l’égalitarisme. Un thème que les propagandistes juifs de l’OWI utilisèrent dans leur propagande plus que tout autre était l’idée que les Allemands se considéraient comme des « surhommes », supérieurs à tous égards aux non-Allemands, et c’était donc notre devoir de les débarrasser de cette illusion. Bien sûr, les Allemands étaient sacrément fiers d’eux, même s’ils ne croyaient pas vraiment qu’ils étaient des « surhommes », comme le disaient les Juifs. Et ils n’étaient certainement pas des égalitaristes. Ils croyaient, par exemple, que les Blancs, les Européens, étaient supérieurs aux Africains noirs en intelligence et en créativité et dans d’autres critères de civilisation. Eh bien, presque tous les Américains blancs croyaient exactement la même chose à cette époque, et donc l’OWI déforma et représenta d’une manière trompeuse la croyance allemande pour que les Américains blancs ne s’aperçoivent pas qu’elle était identique à leur propre croyance. Les Allemands étaient représentés comme très arrogants, très intolérants, et très brutaux : comme des gens qui croyaient être des « surhommes » et qui se croyaient le droit de piller et d’opprimer tout le reste d’entre nous.

L’un des exemples les mieux connus de la manière dont les propagandistes juifs réussirent à représenter trompeusement les Allemands à cet égard fut le cas de l’interaction entre Adolf Hitler et l’athlète noir Jesse Owens aux Jeux Olympiques de Berlin en 1936. Owens, bien sûr, gagna trois médailles d’or à la course et au saut, et les propagandistes proclamèrent joyeusement qu’il avait humilié les « surhommes » allemands et avait – je cite – « brisé le mythe de la supériorité aryenne » – fin de citation. Ils inventèrent aussi l’histoire selon laquelle Hitler, furieux des victoires athlétiques du Noir, l’aurait « snobé » et aurait refusé de lui serrer la main dans un étalage de non-sportivité. Les médias juifs répandirent cette histoire avec tant de succès qu’on la répète encore aujourd’hui, bien qu’elle soit complètement fausse. Les Allemands, bien sûr, ne furent pas du tout humiliés lors des Jeux Olympiques de 1936. En fait les Allemands furent les clairs vainqueurs, avec plus de médailles d’or que tout autre pays. Plus de médailles d’argent et de bronze que tout autre pays. L’Allemagne de Hitler remporta un total de 89 médailles d’or, d’argent et de bronze, contre 56 pour les Etats-Unis de Roosevelt. Les jeux furent un énorme triomphe pour les Allemands, plutôt qu’une humiliation. Et Hitler ne « snoba » pas Jesse Owens. En fait, Hitler était là et salua Owens quand l’athlète noir passa devant la tribune. Owens eut toujours le sentiment qu’il avait été traité royalement par les Allemands et ne pouvait pas comprendre comment avaient commencé ces histoires de « snoberie ». Eh bien, nous le comprenons, n’est-ce pas ?

En tous cas, les Allemands furent représentés par les propagandistes juifs comme une bande d’égomaniaques arrogants, claquant des talons et portant un monocle, qui croyaient qu’ils étaient des « surhommes » et que tous les autres étaient des « sous-hommes ». C’était aux Américains démocrates et égalitaires de les fouetter et de leur montrer leur erreur. Ce fut le thème d’un millier de films de propagande d’Hollywood. Bien, nous les avons fouettés. Nous avons transformé leurs villes en tas de ruines, nous avons massacré les hommes, femmes et enfants allemands par millions, et après les avoir battus nous en avons tué un million de plus à peu près, et pendu leurs dirigeants. Nous leur avons donné une bonne leçon de démocratie et d’égalitarisme.

Et aujourd’hui nous récoltons les bénéfices de cette grande victoire. Nous sommes nous-mêmes en train de recevoir une bonne leçon de démocratie et d’égalitarisme. La démocratie nous a donné Bill Clinton comme président. L’égalitarisme nous a donné le chaos racial que nous avons dans nos écoles et nos villes. La démocratie et l’égalitarisme feront de nous une minorité dans notre propre pays, dans les décennies à venir. C’est de cela que Bill Clinton se réjouissait lorsqu’il fit cet étonnant discours à l’Université de Portland le mois dernier. Les Blancs deviendront une minorité en Amérique, dit-il, et ce sera une bonne chose. Ce serait « non-américain » de notre part de s’y opposer, dit-il. Et vous savez, si l’américanisme est défini en termes des choses pour lesquelles nous avons combattu lors de la Seconde Guerre mondiale, alors Mr. Clinton a absolument raison. Si nous croyons vraiment en l’égalitarisme, si nous croyons vraiment que nous sommes semblables aux Haïtiens et aux Vietnamiens et aux métis mexicains, alors cela n’a pas d’importance si nous devenons une minorité, n’est-ce pas ?

Et plus que tout autre chose, cela aura été une conséquence directe de la Seconde Guerre mondiale : une conséquence directe de notre alliance avec les Juifs dans cette guerre. Avant la guerre nous avions une politique d’immigration assez raisonnable en Amérique. Il était très difficile d’entrer si on n’était pas un immigrant européen. Mais après avoir fait une guerre pour soutenir l’égalité, comment aurions-nous pu laisser entrer des Européens et laisser dehors des Asiatiques et des Mexicains et des Haïtiens ? En tous cas, nous nous sommes laissés convaincre de mettre au rebut nos lois d’immigration racialement exclusives par la même bande de Juifs qui nous avait entraînés dans la guerre. Et voilà où nous en sommes.

Vous savez, du temps que je suis sur le sujet de l’immigration et des Juifs, je devrais mentionner que les Juifs sont un peu timides là-dessus. Ils comprennent que la politique américaine d’ouverture des frontières est de plus en plus impopulaire chez les Américains blancs, et ils ne veulent pas être blâmés pour ses conséquences. Et pourtant c’est une politique juive, et ils demeurent solidement derrière elle, en dépit de quelques mesures de diversion destinées à nous empêcher de suivre leur piste, comme quelques expressions d’inquiétude occasionnelles et bien médiatisées de la part d’éminents Juifs sur les dangers de l’immigration incontrôlée. Le fait est que les patrons des grands médias sont solidement en faveur de l’accroissement de la dénommée « diversité » de l’Amérique au moyen de plus d’immigration non-blanche, et les patrons des grands médias sont presque tous juifs. Mr. Clinton est solidement en faveur de l’« obscurcissement » continu de l’Amérique, et si Mr. Clinton soutient une politique alors vous pouvez être sûrs qu’elle est juive, que ce soit pour obliger l’armée américaine à accepter les homosexuels ou pour réclamer des lois fédérales contre les dénommés « crimes de haine » ou pour garder les frontières ouvertes.

A cet égard il est instructif de noter que ce que les Juifs font aux Etats-Unis avec l’immigration non-blanche, ils le font aussi aux pays qui furent nos alliés dans la grande guerre pour sauver les Juifs. La Grande-Bretagne, par exemple, est en train de devenir rapidement non-britannique. Londres est un cloaque multiracial aussi infect que n’importe quelle ville d’Amérique. Et le Premier ministre Tony Blair prend ses ordres après des mêmes gens que Bill Clinton.

L’Australie, bien sûr, fut aussi l’un de nos alliés dans la croisade pour détruire l’Allemagne, et les Australiens blancs, comme les Américains blancs, ont commencé à s’alarmer des efforts des Juifs et de leurs collaborateurs pour détruire le caractère européen de la population australienne. Une patriote australienne, Pauline Hanson, a été particulièrement efficace pour exprimer les inquiétudes des Australiens blancs. Elle a formé un nouveau parti politique australien, nommé « One Nation », et a obtenu un résultat étonnamment bon dans les élections provinciales. Les Juifs et leurs partisans en Australie tentent frénétiquement d’arrêter son mouvement « Gardez l’Australie blanche » [« Keep Australia White »]. Ainsi la semaine dernière en Australie des Juifs ont volé la liste des membres de One Nation et ont commencé à publier les noms et adresses des partisans de Pauline Hanson dans la Australia/Israel Review, espérant les pousser à quitter le parti. Deux mille noms ont été publiés la semaine dernière, avec la menace de publier les noms des autres dans les futurs numéros de cette même revue. La raison pour laquelle cette menace est intimidante est que les médias en Australie, tout comme aux Etats-Unis, sont totalement hostiles à tous ceux qui ne sont pas d’accord avec la politique juive. Un bon aspect de l’affaire, cependant, est que cela a causé un retournement d’opinion d’une force inattendue en Australie contre les Juifs.

En tous cas, tout cela est lié : le statut de plus en plus favorisé des homosexuels, la traite des Blanches, et la campagne juive pour « obscurcir » le monde blanc partout : en Europe, en Amérique, et en Australie. Et tout cela est venu directement de notre grande victoire dans la Seconde Guerre mondiale.

American Dissident Voices, émission du 18 juillet 1998.