Avant-propos au livre de Greg Johnson, New Right vs. Old Right [Nouvelle Droite contre Vieille Droite]

NewRightOldRight1crop [1]3,262 words

English original here [2], Spanish version here [3]

Peut-être vaut-il mieux commencer par ce que New Right vs. Old Right [4]n’est pas. Greg Johnson n’assaille pas ses lecteurs avec des statistiques pour prouver rôle juif dans le déclin et la chute imminente des Blancs en Amérique et ailleurs. Il ne discute pas de la corruption des médias et du monde académique, ni de la manière dont ils en sont arrivés là. Il ne discute pas des données sur les différences raciales concernant le QI et la criminalité pour expliquer le comportement de l’Amérique non-blanche. Il ne vise pas à réfuter le mantra actuel selon lequel la race n’est rien de plus qu’une construction sociale conçue pour fournir aux Blancs un privilège immérité.

Ces batailles intellectuelles sont passées, et nous avons gagné, bien que les médias de l’establishment et le monde académique continuent de promulguer des bêtises marxistes culturelles comme si c’était un ensemble de vérités gravées dans la pierre. Le point de départ pour NRvOR est que les médias, le monde académique et le processus politique sont désespérément corrompus. Donc que faire maintenant ?

L’argument fondamental de Greg Johnson est que nous devons travailler à créer une métapolitique d’identité blanche explicite – c’est-à-dire un mouvement qui développera « les fondements intellectuels et culturels pour une politique nationaliste blanche efficace en Amérique du Nord, pour que nous puissions finalement créer une patrie ou des patries blanches sur ce continent ».

Greg est l’une des raisons pour lesquelles je pense que c’est un projet réalisable. Une très grande raison d’optimisme est qu’il y a tant de gens intelligents et cultivés qui « pigent » – qui comprennent que les Blancs dans le monde sont en déclin et qu’il y aura des conséquences graves si les Blancs sont incapables d’établir des patries blanches. Des gens comme Greg Johnson font partie d’une tendance immensément importante. J’ai récemment rencontré un grand nombre de jeunes gens intelligents, bien éduqués et au langage agile lors de conférences consacrées à l’activisme en faveur des intérêts de l’Amérique blanche – l’opposé exact de l’image de mâles incultes et violents, arborant des croix gammées et avec quelques dents manquantes, qui a été si soigneusement fabriquée par nos élites hostiles.

Bien qu’ayant grandi sous un déluge constant de propagande multiculturelle et anti-blanche, commençant dès l’école primaire, ces individus comprennent qu’à présent l’Amérique court au désastre puisque les Blancs sont de plus en plus remplacés dans tout le spectre économique et politique. Ils sont vivement conscients que les Blancs sont une minorité des naissances en Amérique et que les Blancs seront une minorité durant leur temps de vie – une minorité avec des perspectives diminuées et de plus en plus persécutés par la majorité non-blanche, dont une grande partie conserve des rancunes historiques contre l’Amérique blanche. Il est très probable que l’Amérique du futur sera assaillie par un conflit chronique entre les divers groupes raciaux/ethniques. Penser que l’Amérique ou l’Occident pourront éviter de tels conflits alors que leurs sociétés deviennent de plus en plus divisées en factions est une idée magique et utopique.

Le but, par conséquent, n’est pas un « suprématisme » qui est odieux à tous égards. Au contraire, « la meilleure manière d’assurer la paix et la bonne volonté parmi les peuples et préserver la diversité humaine raciale, culturelle et religieuse est de donner à chaque groupe distinct une patrie où il pourra vivre et se développer en accord avec sa propre nature distincte et son propre destin ».

C’est une attitude qui me semble être générale dans le mouvement de défense des Blancs. Elle désamorce immédiatement un morceau de rhétorique très efficace de la Gauche – répété avec une régularité prévisible par des organisations comme le Southern Poverty Law Center. Nous sommes des défenseurs des Blancs, des gens qui, comme Greg le dit à plusieurs reprises à la suite de Michael Polignano, « prenons parti pour notre propre camp » dans les questions de conflits raciaux/ethniques. Et en prenant parti pour notre propre camp, nous faisons exactement ce que les groupes raciaux/ethniques font depuis des temps immémoriaux. Personne n’accuse les Coréens de « suprématisme coréen » lorsqu’ils adoptent des politiques visant à conserver la prédominance démographique et culturelle coréenne. Et imaginez l’horreur des élites occidentales si on proposait d’inonder les pays africains avec des  Blancs pour que les Africains natifs cessent d’être une majorité politique.

Ne vous y trompez pas. Les politiques qui transforment les Blancs en minorités dans des pays qu’ils ont dominés pendant des centaines ou (dans le cas de l’Europe) des milliers d’années ne sont pas conduites par des rêves utopiques d’un avenir sans races, sauf parmi les Blancs crédules et intimidés. Les non-Blancs qui saluent avec tant d’enthousiasme le déclin du pouvoir politique et culturel blanc sont conduits par la haine envers les Blancs en tant que peuple et en tant que culture. C’est un thème majeur de mes écrits sur l’influence juive, et qui est aussi évident chez une foule d’intellectuels et d’activistes non-blancs.

Greg Johnson détient un doctorat en philosophie, et cela se voit. Son point fort est l’argumentation bien développée et présentée dans un style lucide et facilement compréhensible. On n’accusera pas ce livre d’être rempli de prose fumeuse. Et je n’ai aucun désaccord majeur avec son contenu.

J’ai été particulièrement frappé par plusieurs points. Par exemple, à la différence de la Nouvelle Droite Européenne, Greg est un défenseur du nationalisme racial blanc :

« …dans la mesure où la rupture des identités nationales européennes et la fusion des souches européennes dans notre contexte nord-américain nous oblige (1) à donner une plus grande place à la race biologique et à d’autres racines profondes de l’identité européenne commune, et (2) à mettre un plus grand accent sur la question juive, étant donné le rôle de la communauté juive américaine dans la promotion de politiques anti-blanches aux Etats-Unis tout comme dans les pays blancs du monde entier. »

Exact. En tant que biologiste, je constate qu’il y a toujours une tendance à voir les questions comme la race en-dehors de leur contexte. L’ADN, après tout, est l’ADN. Mais les Blancs américains sont effectivement une population très mélangée – un exemple réussi de melting-pot européen. En effet, nous avons créé une nouvelle réalité biologique qui n’est présente dans aucun pays européen. Cependant, nous devons nous souvenir que les Européens sont en général étroitement liés biologiquement, particulièrement dans le nord et l’est de l’Europe, comme les données récentes continuent à le montrer. En effet :

« …des paires typiques d’individus pris dans toute l’Europe ont une bonne chance de partager de longues séries de [gènes identiques] par leur ascendance, même lorsqu’elles sont séparées par des milliers de kilomètres. Nous pouvons de plus conclure que des paires d’individus dans toute l’Europe ont des chances raisonnables de partager des ancêtres génétiques communs dans les 1.000 dernières années, et sont certaines d’en partager beaucoup dans les 2.500 dernières années. » [1]

La race blanche est effectivement une réalité biologique aussi bien que culturelle. Cette réalité biologique forme une base puissante pour une compréhension scientifiquement basée d’une communauté d’intérêts partout où les Blancs vivent, que ce soit en Europe ou dans la diaspora européenne.

Et oui, bien que la communauté juive organisée ait poursuivi le même ensemble de politiques favorisant une immigration de remplacement et le multiculturalisme dans tout l’Occident, l’influence juive varie dans les diverses sociétés occidentales. Cela nous amène au besoin de développer un bon modèle de diffusion culturelle dans l’Occident. Par exemple, la culture académique est consciemment internationale. Si en effet l’impulsion principale du basculement à gauche est l’implication juive dans la Gauche qui commença aux Etats-Unis par les mouvements décrits dans The Culture of Critique, il n’est pas du tout surprenant que cette culture se soit répandue dans d’autres régions avec une influence juive moindre, étant donné la prééminence des Etats-Unis dans le monde occidental de l’après Seconde Guerre mondiale. Un universitaire ambitieux en Norvège ou en Finlande, par exemple, qui souscrirait à une vision-du-monde nationaliste blanche serait ostracisé dans les sociétés académiques internationales, alors que des compatriotes qui souscriraient au marxisme culturel régnant obtiendraient une reconnaissance internationale.

Le même phénomène a lieu dans le domaine politique, comme par exemple quand le politicien autrichien Jörg Haider rejoignit une coalition de gouvernement en 2000. Cela entraîna une énorme pression internationale, les Etats membres de l’Union Européenne refusant de coopérer avec le gouvernement autrichien et Israël rappelant son ambassadeur. L’agression contre le parti Aube Dorée en Grèce est un exemple plus récent. Tout gouvernement occidental qui s’opposerait à la poursuite de l’immigration et du multiculturalisme serait soumis à des pressions similaires.

La culture du suicide occidental existe dans tout le monde blanc, et la domination du plus puissant pays de l’Occident équivaut largement à la domination de tout le monde occidental, particulièrement au vu du fait que les Juifs contrôlent souvent les médias, même dans des pays ayant des populations juives infimes, comme avec la famille Bonnier en Norvège et en Suède.

Greg ne craint pas de discuter de questions difficiles ayant à voir avec le national-socialisme, soutenant l’idéal d’une société organique, hiérarchique et méritocratique vouée à faire avancer les intérêts des Blancs et rejetant « la politique de parti, le totalitarisme, le terrorisme, l’impérialisme et le génocide ».

J’approuve entièrement. C’est une très bonne stratégie pour affronter de telles questions plutôt que de les laisser être discutées seulement par nos ennemis. C’est la même chose pour l’holocauste. L’holocauste n’est simplement pas important pour la défense des Blancs, et ce qui est arrivé n’est pas de la responsabilité des Blancs  vivants [aujourd’hui] ; c’est quelque chose qui doit simplement être « dépassé » [« stepped over »], pour utiliser l’heureuse expression de Jonathan Bowden. Même si on prouvait que l’holocauste n’avait pas existé et même si cela était accepté par tout le monde, il y a plus que suffisamment de ressentiment juif concernant leur passé en Europe et aux Etats-Unis pour alimenter l’hostilité envers l’Occident qui a été un trait si frappant dans la communauté juive organisée et chez tant d’individus juifs influents. La réalité des Juifs en tant qu’élite hostile visant à remplacer les élites blanches dans tout l’Occident ne changerait pas du tout.

Je pense qu’il ne devrait pas y avoir de controverse sur le fait que le mouvement de défense blanc doit être métapolitique, puisqu’il y a un besoin urgent de construire une culture sûre d’elle-même et fière et qui puisse finalement devenir majoritaire. L’argument de Greg selon lequel il est prématuré de poursuivre une politique de parti nationaliste – qu’en ce moment l’argent peut être mieux utilisé dans l’éducation et l’organisation – prête davantage à controverse. La question est de savoir si ces buts sont vraiment incompatibles et si, comme Greg le remarque à juste titre, « Nous partageons les mêmes buts généraux, mais nous sommes en désaccord concernant les meilleurs moyens de les atteindre. Nous devons reconnaître ces différences franchement, puis diviser notre camp et poursuivre nos buts communs par les divers chemins qui nous semblent les meilleurs ». Des moyens différents doivent être tentés dans l’espoir que finalement quelque chose marchera. Entretemps, nous devons être aussi inclusifs que possible.

En fait, des partis nationalistes ont fait des progrès substantiels en Europe, et de nombreux observateurs s’attendent à une représentation significative des partis nationalistes après les élections au Parlement Européen de 2014. Avec un succès croissant, les messages de ces partis sont inévitablement devenus plus largement connus. Significativement, ces partis ne se sont pas développés avec un programme de nationalisme explicitement pro-blanc ou pro-ethnique, mais ont plutôt tenté d’échapper au radar de la correction politique sur la race et sur l’influence juive, se basant sur un nationalisme ethnique implicite qui s’oppose à l’immigration et au multiculturalisme pour toute une foule de raisons sauf celle du danger de submersion ethnique qui est en fait présent en arrière-plan. Sans surprise, ces messages sont souvent plus efficaces avec la classe ouvrière blanche, le groupe qui a le plus souffert du tsunami de l’immigration.

En fait, je crois que le modèle de changement le plus probable est que la révolution commencera en Europe avec le succès de l’un de ces partis, particulièrement si cela survient dans un pays essentiel comme la France où il y a une claire possibilité que le Front National obtienne le pouvoir, et dans un contexte où d’autres partis nationalistes aient une représentation substantielle dans d’autres régions d’Europe de sorte qu’un contre-mouvement efficace d’isolement et d’ostracisme ne puisse pas se développer. Je pense que nous approchons rapidement d’une telle situation. Comparée à l’Amérique, l’Europe a l’avantage de très anciennes cultures et identités qui sont mortellement menacées par cette nouvelle distribution. Dès qu’un tel parti obtiendra le pouvoir, des messages plus explicites d’intérêts ethniques et raciaux pourraient devenir plus acceptables, ouvrant la voie à une plus grande diffusion d’un cadre théorique explicitement basé sur des intérêts ethniques.

Je crains qu’en l’absence de buts politiques à court terme, un mouvement purement métapolitique ne soit en danger d’être une élite détachée, repliée sur elle-même et même égoïste. D’une part, la Gauche contrôle complètement la scène académique et réprime très activement – en fait, passionnément – toute déviation vis-à-vis de la correction politique. C’est très différent de la situation dans les universités américaines où Franz Boas parvint à contrôler l’anthropologie académique au début du XXe siècle, et où plusieurs intellectuels de New York obtinrent des positions dans des universités d’élite bien avant 1960. C’est une très formidable barrière à la diffusion d’une culture d’élite de l’identité blanche, étant donné l’étroite relation entre les universités et la vie intellectuelle en Occident. Il n’y eut aucune protestation du monde académique lorsqu’en 1965 la loi d’immigration ouvrit les Etats-Unis à tous les peuples du monde. En fait, dans plusieurs pays occidentaux, l’Australie vient à l’esprit, le mouvement pour ouvrir l’immigration aux non-Blancs commença dans les universités.

Même en Amérique, avec tant de barrières contre nous, l’action politique dans ou en-dehors du contexte du processus électoral pourrait être une force positive pour le changement. Les Américains ont besoin de voir des Blancs vocaux, intelligents, attractifs et dévoués, marchant dans les rues avec des panneaux opposés à l’immigration, au multiculturalisme, et à la stridente politique ethnique des autres groupes ; il y a le besoin d’un roulement de tambour permanent de publicité politique où des thèmes pro-blancs, qu’ils soient explicitement blancs ou non, seront répétés sans cesse jusqu’au moment où ils feront partie du décor de la vie, même si des victoires électorales demeurent un but éloigné.

De tels mouvements peuvent être particulièrement importants pour les Blancs moins éduqués qui pourraient être dégoûtés par une culture d’élite de l’identité blanche. En fait, la classe ouvrière blanche a été le principal perdant des changements culturels promus par nos élites hostiles. Un grand nombre des ouvriers blancs est en colère et, ayant moins à perdre que tant de Blancs bien éduqués, ils représentent un important électorat naturel.

En tous cas, je suis d’accord sans réserve sur le fait que nous devons être ouverts à une diversité d’approches.

L’essai de Greg, « Le facteur moral », soulève l’importante question de la motivation morale qui selon moi est un aspect de la singularité occidentale. On ne voit pas les Chinois se tracasser sur le fait que les Chinois Han agrandirent beaucoup leur territoire aux dépens d’autres peuples. On ne voit pas les Bantous d’Afrique s’inquiéter de moralité lorsqu’ils remplacent d’autres peuples africains en se répandant partout à partir de leur foyer d’origine en Afrique Centrale, y compris en Afrique du Sud où le traitement qu’ils subirent de la part des Sud-Africains blancs devint la pièce à conviction N° 1 pour la culpabilité blanche durant la période de l’apartheid ; les peuples parlant des langues bantoues ne se tracassent pas non plus sur la pratique très répandue de l’esclavage en Afrique. Les Arabes ne s’excusent pas pour leurs conquêtes au nom de l’islam ou pour leur rôle séculaire dans l’esclavage et la traite des esclaves. Comme Greg le remarque, les Espagnols se sont excusés pour la Reconquista qui expulsa les musulmans d’Espagne, mais il n’y a pas d’excuses de la part des musulmans pour la Conquista.

Les Blancs furent les seuls à abolir l’esclavage, et un grand nombre des activistes et les sentiments populaires fondamentaux si cruciaux dans la victoire ultime sur l’esclavage furent motivés par l’idéalisme moral, en particulier une empathie pour les esclaves [2]. Ils firent cela en dépit de coûts très réels pour de nombreux individus et pour la société dans son ensemble, et tout cela eut lieu avant la montée de l’élite hostile juive. En fait, cette caractéristique unique des Blancs est exploitée par les intellectuels juifs pour leurs propres fins haineuses. Ma théorie de base est qu’il s’agit d’une survivance de la culture nord-européenne des chasseurs-cueilleurs, où le statut de quelqu’un dans un groupe est basé sur sa réputation de comportement moral (honnêteté, loyauté) plutôt que sur les relations de parenté – un aspect de l’individualisme occidental.

Donc je suis d’accord que « même si le Nationalisme Blanc est politiquement important, les gens s’y opposeront s’ils pensent qu’il est immoral. Mais ils remueront ciel et terre pour établir des patries blanches s’ils pensent qu’il est juste de le faire ». Nous devons gagner la bataille morale. Le problème est que « les gens de notre peuple croient à une écrasante majorité que notre cause est injuste ». Et pourtant, l’argument moral en faveur de la survie blanche est évident et contraignant. Fondamentalement, notre survie basique en tant que peuple et en tant que culture est menacée. Comme Greg le remarque, « le présent système n’est pas seulement anti-blanc, il est génocidairement anti-blanc ».

Cela me suffit pour qualifier le présent système de complètement dépravé moralement. Il est profondément immoral d’infliger le multiculturalisme aux populations blanches de l’Occident, étant donné que le conflit ethnique est absolument prévisible, en nous basant sur tout ce que nous savons de la sanglante histoire des sociétés ethniquement divisées. C’est particulièrement le cas étant donné que le soutien au multiculturalisme et le soutien à leur propre éclipse démographique et politique n’ont jamais été des vues majoritaires parmi les Blancs. Que ce soit en Australie ou en Nouvelle-Zélande, en Amérique du Nord ou en Europe – en tous cas dans tout l’Occident, l’immigration et le multiculturalisme ont été des projets des élites médiatiques, académiques et politiques. Ces changements se sont faits de haut en bas, et non de bas en haut.

Nous devrions nous interroger davantage sur la moralité de l’empiètement sur les droits et les intérêts légitimes de la majorité blanche. Tout le monde a des droits et tout le monde a des intérêts. Les intérêts et les droits des Blancs en tant que majorité ne sont pas moins moralement légitimes que ceux des autres groupes. Les Blancs doivent abandonner l’idéal de l’universalisme moral et se demander ce qui est bon pour l’avenir des Blancs.

Sur la base de cette collection d’essais, Greg Johnson a une vision irrésistible du désastre imminent qui attend le peuple et la culture de l’Occident et de ce que nous pouvons faire dans l’immédiat. Cette vision est présentée d’une manière facilement lisible et bien argumentée qui montre immédiatement la puissance et la confiance de la culture métapolitique, en cours de développement, d’une renaissance occidentale. Je la recommande sans réserve.

15 janvier 2014

 Note : Le livre de Greg Johnson New Right vs. Old Right peut être commandé ici [4].

 Notes

 1. Ralph Peter and Graham Coop, “The Geography of Recent Genetic Ancestry across Europe,” PLOS Biology, vol. 11, no. 5 (May 7, 2013): e1001555. doi:10.1371/journal.pbio.100155

http://www.plosbiology.org/article/fetchObject.action?uri=info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.pbio.1001555&representation=PDF [5]

2. Kevin MacDonald, “Empathy and Moral Universalism as Components of White Pathology: The Movement to Abolish Slavery in England,” The Occidental Quarterly, vol. 13, no. 2 (Summer 2013), pp. 39–63.