Innocence des musulmans, culpabilité des juifs, intérêts des Blancs

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English original here [2]

A partir du 11 septembre 2012, les ambassades et d’autres installations US dans le monde musulman ont été ciblées par des foules en colère protestant contre la politique et l’influence américaines. Des protestations ont eu lieu aussi dans des pays avec de fortes minorités musulmanes, incluant l’Inde et des nations blanches comme l’Australie, le Royaume-Uni, l’Allemagne, le Danemark, la Belgique, et la France.

Au moment où j’écris [3], 79 personnes ont perdu la vie (incluant l’ambassadeur US en Libye, J. Christopher Stevens), plus de 600 ont été blessées, et le coût des dégâts et des assurances se monte à des millions et des millions de dollars. La violence continue, et le monde est encore en train d’en discuter les causes.

Le consensus libéral émergeant est essentiellement celui-ci :

  1. Le film Innocence of Muslims [Innocence des musulmans] était une infâme provocation mais était protégé par la liberté d’expression.
  2. Le monde musulman pourrait supporter d’utiliser un peu plus de liberté, de démocratie, et de tolérance. Pour des oreilles musulmanes, ce genre de discours doit sonner comme une sirène de raid aérien.
  3. Mais les protestations et la violence n’étaient pas des expressions spontanées de fanatisme et d’intolérance de la part de la majorité des adhérents de la « Religion de Paix » (de peur que nous ne rejetions les musulmans qui inondent les pays blancs et qui se multiplient comme des rongeurs).
  4. Au contraire, les protestations et la violence furent orchestrées par de petits groupes d’extrémistes, incluant Al-Qaïda.

Parmi les Nationalistes Blancs et les autres du milieu d’extrême-droite, le débat est de savoir s’il faut blâmer les musulmans pour leur intolérance et leur fanatisme ou bien les néoconservateurs juifs du contre-djihad qui ont apparemment créé Innocence of Muslims et l’ont utilisé pour provoquer les foules.

Si nous prenons un peu de recul par rapport à ces arguments, il me semble clair que quel que soit le camp que l’on choisisse en débattant de la question « Devons-nous blâmer les musulmans ou les juifs ? », les Blancs ne peuvent vraiment pas perdre, parce qu’en fin de compte nous voulons nous libérer des deux groupes.

Et c’est mon but ici : examiner cette question du point de vue des intérêts blancs. Je veux dire qu’en termes des intérêts blancs, la violence et la polarisation actuelles entre les musulmans et l’Occident ne sont pas une mauvaise chose. Il est dans l’intérêt de notre race que :

  1. L’immigration musulmane dans les pays blancs soit stoppée et inversée.
  2. La Turquie et d’autres nations musulmanes soient laissées en-dehors de l’Union Européenne.
  3. Toutes les autres tentatives d’union économique et politique entre des nations européennes et musulmanes autour du monde soient empêchées.

Et les foules de musulmans en colère, violents et à l’apparence étrangère attaquant des ambassades, des consulats et d’autres installations américaines et européennes ne peuvent que travailler pour les intérêts à long terme des Blancs. Oui, je déplore la perte de vies blanches et de biens blancs des mains des foules musulmanes. Mais nous devons mettre cela en balance avec le bien supérieur de notre race, c’est-à-dire empêcher les patries blanches d’être inondées et détruites par l’immigration musulmane et l’impérialisme religieux et culturel qui l’accompagne.

Donc, en plus d’avoir détrôné Ed Wood comme suprême auteur de camelote, les créateurs d’Innocence of Muslims contribuent peut-être simplement au sauvetage de la race blanche. Franchement, j’espère que 100 farces de plus comme celle-ci sont en préparation. Avec quelques provocations supplémentaires judicieusement appliquées, la rue musulmane pourrait éveiller les Européens au danger de la colonisation musulmane et mettre fin à la mondialisation.

Si j’avais découvert qu’un Nationaliste Blanc avait été derrière Innocence of Muslims, cela m’aurait franchement fait plaisir. Donc pourquoi partir à l’attaque [4] lorsqu’il s’avère que c’est le mouvement du Contre-Djihad, dirigé par les Juifs, qui est derrière le film ?

La réponse est simple : les Juifs sont nos ennemis aussi. Donc je ne vais pas rater l’occasion  de parler de la perfidie juive. En plus de cela, j’en ai assez de voir les Juifs à la manœuvre et les Blancs se laisser mener en bateau, même quand, de temps en temps, nos intérêts coïncident. Les Blancs doivent arracher le contrôle de nos nations aux intrus juifs et commencer à poursuivre leurs propres intérêts et destin, laissant les Juifs et les Musulmans à leurs propres ressources.

Les destinées des Blancs sont contrôlées par des non-Blancs depuis si longtemps que nous trouvons difficile de simplement penser selon nos propres intérêts. Donc, dans ce débat, certains d’entre nous finissent par être plus pro-musulmans et antijuifs que pro-Blancs. D’autres tendent à être plus antimusulmans et pro-juifs (ou du moins anti-antijuifs) que pro-Blancs.

Mais nous n’avons pas à choisir entre les Juifs ou les musulmans. Il n’y a pas à choisir. Nous n’avons pas à prendre parti dans leurs combats. Nous devons prendre parti pour notre propre camp, et reconnaître que les intérêts blancs diffèrent de ceux de ces deux groupes.

Pro-musulman/antijuif, mais pas pro-Blanc

1. Dans un monde idéal, nous n’aurions aucune querelle avec les musulmans. Ils auraient leur partie du monde, et nous aurions la nôtre. C’est certainement le genre de monde où je veux vivre, car la Nouvelle Droite promeut l’idée d’Etats ethniques pour chacun comme étant la voie vers la paix mondiale et la bonne volonté.

Dans un tel monde, les Juifs derrière Innocence of Muslims seraient simplement et sans ambigüité mauvais, parce qu’ils provoquent des troubles là où aucun trouble n’existe, afin d’utiliser l’inimitié entre Blancs et musulmans pour faire avancer les intérêts d’Israël.

Dans le monde réel, cependant, il y a 60 millions de musulmans dans les pays blancs, se reproduisant plus de quatre fois plus vite que les Blancs. Donc il y a déjà un véritable choc de civilisations en cours, quelles que soient les machinations des contre-djihadistes.

Bien sûr les Juifs souhaitent favoriser les tensions entre musulmans et Blancs afin de les exploiter pour leurs propres intérêts, utilisant les musulmans pour diluer et détruire les nations blanches tout en utilisant les Blancs pour détruire les régimes musulmans hostiles.

Mais les Blancs peuvent aussi favoriser et exploiter les mêmes tensions pour leurs propres intérêts. Il n’y a pas de raison de penser que les Juifs pourront toujours tourner de telles tensions à leur avantage – sauf si les Blancs refusent simplement d’essayer de promouvoir leurs propres intérêts.

2. Les Blancs au cœur tendre ne peuvent pas s’empêcher de sympathiser avec les musulmans qui sont opprimés et diffamés par les Juifs. Je sympathise avec les Palestiniens, parce que moi aussi je vis sous occupation sioniste. Beaucoup de Blancs travaillent contre le sionisme et pour les droits palestiniens mais ignorent le fait que nos propres patries sont de plus en plus sous occupation des Palestiniens et des autres musulmans, qui sont hostiles à notre culture et qui menacent de nous submerger démographiquement.

Il y a quelque chose d’absurde dans le fait que des Blancs, qui sont en train de perdre leurs propres patries au profit des musulmans, travaillent avec zèle à assurer une patrie pour les Palestiniens. Bien sûr cela ne signifie pas que la cause palestinienne soit moins juste. En fait, si la cause palestinienne est juste, alors la cause des nationalistes européens est juste aussi. Et puisque c’est notre propre cause, les Blancs ne devraient-ils pas lui donner la priorité sur la cause palestinienne ?

3. Les Blancs qui ont une tournure d’esprit fortement antisémite sont attirés par la cause palestinienne parce que c’est un déguisement politiquement correct pour leur antisémitisme. Beaucoup de Blancs sont tellement piégés par cette mentalité qu’ils applaudiraient en fait à la destruction de l’Etat d’Israël, sans prendre en compte le fait que probablement la plupart des Juifs israéliens se réfugieraient dans les pays blancs. D’un point de vue pro-Blanc, cependant, ce serait un désastre. On pourrait donc accuser à juste titre ces Blancs antisionistes de haïr les Juifs plus qu’ils n’aiment leur propre peuple.

D’un point de vue Nationaliste Blanc [5], si Israël n’existait pas, il devrait être inventé pour que nous puissions y envoyer nos Juifs, car les Blancs ne reprendront jamais le contrôle de leurs destinées sans briser le pouvoir de la diaspora juive et les renvoyer à Bethléem, pour emprunter une phrase.

Je suis convaincu qu’une partie de la colère de droite devant le film Innocence est simplement l’incapacité à supporter la vue des Juifs gagnant partout, même quand cela peut accidentellement servir les intérêts blancs aussi. Mais, encore une fois, c’est un exemple de ce qui se passe lorsqu’on hait les Juifs plus qu’on n’aime son propre peuple.

4. Les Blancs qui ont une tournure d’esprit réactionnaire, antilibérale et antimoderne admirent naturellement les musulmans. Ils admirent leurs familles patriarcales et leurs taux de natalité élevés, leur intense piété religieuse (et leur intolérance concomitante envers le blasphème, le relativisme, le subjectivisme, et la bouillie libérale), et leur capacité à tuer et à mourir pour des idéaux. En comparaison, l’Occident libéral est dévitalisé, décadent, et dégénéré.

Cette admiration est particulièrement forte parmi les Traditionalistes, dont beaucoup ont suivi l’exemple de René Guénon en se convertissant à l’islam. Guénon, cependant, se convertit à l’islam parce qu’il vécut finalement au Caire ; lorsqu’il était en France, il était catholique ; s’il avait vécu en Inde, ainsi qu’il l’avait envisagé, il aurait été un hindou pratiquant. Mais il demeura un Traditionaliste, quelle que fût la foi externe à laquelle il adhérait. La décision de Guénon de suivre la religion dominante du pays où il habitait était, en fait, un geste socialement profondément conservateur, alors que la décision de ses adeptes européens de se convertir à l’islam dans des sociétés européennes a transformé le Traditionalisme en un vecteur de subversion.

Aussi galant que ce soit d’admirer ses ennemis, cependant, nous ne pouvons pas perdre de vue le fait que les musulmans sont nos ennemis. Dans l’abstrait nous pouvons admirer leur capacité à tuer et à mourir pour leur religion. Mais nous ne devrions pas oublier le fait concret qu’ils sont prêts à nous tuer pour imposer leur religion. De plus, leur religion ne peut être imposée que par la destruction de notre civilisation. Finalement, étant donné la panmixie raciale du monde musulman, l’islam serait encore plus destructeur pour l’intégrité de notre race que ne le sont le christianisme et le libéralisme. Les sociétés musulmanes peuvent ressembler aux sociétés blanches saines du passé et du futur, mais notre race ne pourra jamais se régénérer si nous ne la préservons pas d’abord, et l’islam est l’un des adversaires majeurs de l’auto-préservation blanche.

5. Les Blancs politiquement réalistes qui ont une faible tolérance pour le jargon libéral sont horrifiés par l’idée d’une cabale privée loyale à un régime étranger complotant pour forcer la main de la politique étrangère américaine tout en se cachant derrière le Premier Amendement. La dissidence religieuse est protégée, mais la trahison ne l’est pas. Un pays sérieux arrêterait et jugerait simplement pour trahison les gens qui se trouvent derrière Innocence of Muslims. Cela ferait beaucoup pour calmer la colère du monde musulman et ferait encore plus pour réparer les relations – plus que de pieuses inepties sur la tolérance (bien sûr quand vous commencez à arrêter les Juifs pour trahison, il est difficile de savoir où s’arrêter).

Mais regardons la vérité en face : l’Amérique n’est plus un pays sérieux depuis très longtemps. Nous sommes dirigés par une élite tournante de ploutocrates égoïstes (républicains) et d’altruistes pathologiques (démocrates), dont aucun n’est préoccupé par le bien commun de la nation. Avec des dirigeants comme ça, ce fut un jeu d’enfant pour leurs principaux partenaires, la communauté juive organisée, de subordonner notre nation à la leur.

Dans un tel contexte, l’application méthodique de l’instinct conservateur pour préserver « le système » perpétue simplement le pouvoir de nos ennemis. Le réalisme politique, dans ce contexte, est la plus pure forme d’idéalisme, puisqu’il est détaché de la principale vérité sur le système : ce n’est plus notre système.

Il est temps de cesser de promouvoir des politiques comme si c’était encore notre pays. Ce ne l’est pas. C’est leur pays maintenant, et nous devons nous en séparer émotionnellement et de toutes les autres manières. Nous devons nous mettre de coté et les laisser le conduire dans le mur, pas proposer des politiques intelligentes comme si c’était encore notre pays et comme si nous avions encore intérêt à sa survie à long terme.

Si c’était encore notre pays, donner un coup de pied dans le nid de guêpes musulman serait une mauvaise chose. Si c’était encore notre pays, la guerre en Afghanistan et en Irak serait une mauvaise chose. Si c’était encore notre pays, renverser Kadhafi et Moubarak et Assad serait une mauvaise chose. Si c’était encore notre pays, entrer en guerre avec l’Iran serait une mauvaise chose. Si c’était encore notre pays, la position hostile de l’Amérique envers la Russie serait de la démence.

Mais ce n’est pas notre pays. Nous sommes simplement menés en bateau. Et les Blancs ont plus de chances de reprendre le contrôle de leur destin en Amérique du Nord, en Europe et dans le reste du monde si les actuels gouvernants de l’Amérique la conduisent dans le mur. Oui, cela causera d’indicibles souffrances à des millions de gens. Oui, tout cela pourrait être évité s’ils voulaient simplement écouter la voix de la raison (comme si c’était réaliste !).

Si vous êtes fier de votre réalisme, alors soyez réaliste. Dès que l’économie de l’Amérique s’effondrera du fait de la surextension impériale, de l’immigration, de la mondialisation et du racket financier, l’Europe aura une chance de combattre. Dès que le cadavre de l’Amérique refroidira, les poux l’abandonneront pour chercher du sang frais, et les Blancs d’Amérique du Nord auront une chance de bâtir quelque chose de meilleur. C’est bien triste, mais puisque les gens semblent apprendre seulement par la souffrance [6], c’est la meilleure option pour notre peuple.

En général, toutes ces lignes de pensée pro-musulmanes/antijuives ont une tendance à un idéalisme excessif : elles proposent des positions et des politiques formulées pour un monde meilleur que celui où nous vivons réellement. Ma propre pensée tend systématiquement vers cette erreur, donc je dois constamment me demander si mes réactions sont basées sur le monde tel qu’il est réellement ou sur le monde tel que je voudrais qu’il soit.

Comme nous le verrons, le camp antimusulman/pro-juif tend vers l’extrême opposé à un pragmatisme excessif, se fixant sur la menace la plus immédiate et la plus facilement saisie, c’est-à-dire les musulmans, et échouant à saisir la menace juive plus fondamentale au point d’approuver sérieusement des alliances avec les Juifs.

Antimusulman/pro-juif, mais pas pro-Blanc

Si je pense que des provocations contre-djihadistes comme Innocence of Muslims peuvent server les intérêts blancs, cela signifie-t-il que j’envisagerais des alliances avec les Juifs, comme l’ont fait des Nationalistes Européens comme Nick Griffin, Guillaume Faye, Geert Wilders, et d’autres ? Absolument pas, pour les raisons suivantes.

  1. Les Juifs sont nos ennemis aussi. De plus, les Juifs peuvent être un ennemi moins visible que les musulmans, mais ils sont un ennemi plus fondamental. Le rôle juif dans l’ouverture des pays blancs à l’immigration non-blanche est substantiel, bien qu’il varie bien sûr de pays en pays. Ce qui ne varie pas, cependant, est le fait que la communauté juive organisée est le principal adversaire de toute forme de nationalisme européen, incluant les tentatives pour stopper et inverser l’immigration non-blanche. Il n’y a pas d’issue à part passer sur les Juifs. Donc il est superficiel de se focaliser sur les musulmans et d’ignorer les Juifs. C’est se focaliser sur les symptômes, pas sur la cause. C’est se focaliser sur les symptômes, mais ignorer les principaux obstacles pour vraiment traiter la maladie.
  2. L’idée même d’une alliance de bonne foi entre Nationalistes Blancs et Juifs est absurde en face de cela. Avant tout, personne ne fait d’alliance avec ceux qui sont impuissants, et les Nationalistes Blancs n’ont pas de pouvoir politique. Ensuite, les Juifs sont la nation la plus puissante dans le monde. S’ils voulaient vraiment changer les politiques d’immigration des pays européens, cela arriverait quasiment en un jour. Ils n’auraient pas non plus besoin de l’assistance de groupes nationalistes blancs marginaux pour le faire. Au contraire, la réforme de l’immigration deviendrait immédiatement une question majeure approuvée par tous les partis.

Si les Nationalistes Blancs sont complètement impuissants politiquement, alors pourquoi certains Juifs font-ils des ouvertures aux Nationalistes Blancs ? Quel est l’intérêt pour eux ? Je pense qu’ils ont deux buts ici.

Premièrement, bien que les Nationalistes Blancs n’aient pas de pouvoir politique, nous avons un atout que les partis politiques majoritaires ne possèdent pas : la vérité sur la race et sur la question juive. Les nationalistes qui font alliance avec les Juifs, cependant, sont obligés de cesser de dire la vérité sur la question juive et au contraire de travailler à obscurcir ou à excuser le rôle juif dans la dépossession blanche. Ce silence ou cette collusion font avancer le programme juif et empêchent la libération blanche.

Deuxièmement, les Juifs ont obtenu l’hégémonie dans les sociétés blanches en infiltrant, en subvertissant et en transformant tout le spectre politique en défenseurs des intérêts juifs. Donc, en termes d’intérêts juifs vitaux, savoir quel parti arrive au pouvoir n’a pas d’importance. C’est une pure folie de penser que les Juifs ne chercheront pas à faire la même chose avec toutes les formes de Nationalisme Européen et Blanc. Puisqu’il n’y a pas de moyen sûr de distinguer un sympathisant ou un allié juif sincère d’un simple agent de subversion, nous devons simplement exclure tous les Juifs et faire les choses nous-mêmes.

Donc en fait il n’est pas important de savoir si un contre-djihadiste juif ou un prétendu  Nationaliste Blanc proteste en disant qu’il se préoccupe véritablement de promouvoir les intérêts blancs, parce que c’est ce que tout infiltré dirait. Et nous ne devons pas craindre de heurter les sentiments des sympathisants juifs sincères. Ils comprendront notre méfiance et notre refus de travailler avec eux, puisque qu’ils connaissent leur peuple mieux que nous ne le pourrons jamais.

Quelle ligne les Nationalistes Blancs devraient-ils adopter concernant les Juifs et les  musulmans ?

  1. Aucun des deux groupes n’a sa place dans nos sociétés. Donc notre but est la séparation la plus complète possible vis-à-vis des Juifs et des musulmans.
  2. Cependant, nous devons traiter franchement la difficile question de la manière dont ces groupes sont définis. L’islam est une religion, donc quiconque se pense comme un musulman est un musulman, incluant les convertis blancs. Les musulmans blancs, cependant, doivent être vus comme des vecteurs d’islamisation et doivent donc être exclus. Par le même raisonnement, cependant, nous ne devrions avoir aucun problème avec les apostats musulmans génétiquement blancs.
  3. Avec les musulmans, il me semble qu’ici la question essentielle est une question de conscience plutôt que d’ascendance. Il y a des groupes que nous reconnaissons comme européens et qui ont un certain apport génétique moyen-oriental. Nous ne devrions donc pas avoir plus de problème avec les non-musulmans ayant une certaine ascendance musulmane proche-orientale que nous n’en avons avec les autres Blancs ayant une certaine ascendance proche-orientale.
  4. La question est différente avec les Juifs, parce qu’ils ne sont pas une religion mais une nation. Cette nation a un noyau génétique ethnique ainsi qu’une conscience nationale qui prend des formes à la fois religieuses et non-religieuses. Cette conscience nationale s’est étendue au-delà du noyau ethnique-génétique juif et a assimilé d’autres groupes dans le collectif juif. Donc des non-Juifs génétiques peuvent devenir des Juifs fonctionnels, par exemple en se convertissant au judaïsme ou en devenant des sionistes chrétiens, des marxistes, des néoconservateurs, des straussiens, des libertaires, des objectivistes, etc.
  5. Mais si des non-Juifs peuvent devenir des Juifs, les Juifs peuvent-ils devenir des non-Juifs ? Puisque l’identité juive n’est pas simplement une question de religion, l’apostasie juive ne peut pas être une simple question de changement de religion. Lawrence Auster, par exemple, est un converti au christianisme, mais sa loyauté principale va encore à la nation juive. On peut cependant renoncer à sa nationalité. Pamela Geller, par exemple, pourrait s’asperger d’un peu d’eau bénite et ensuite jurer solennellement qu’elle a renoncé à sa « citoyenneté » dans la nation juive. Mais nous serions fous de la croire. Donc les Blancs ne devraient jamais accepter de tels apostats juifs comme étant des « nôtres », même si génétiquement ils peuvent ne pas être plus moyen-orientaux que le Grec moyen.
  6. Il y a néanmoins une forme d’apostasie juive que les Blancs devraient reconnaître : dans le passé, des Juifs se sont mariés en-dehors de la religion juive et de la communauté nationale et dans la race blanche. Donc il y a des Blancs aujourd’hui qui ont une certaine ascendance juive mais pas de conscience ethnique ou religieuse juive. Génétiquement, ils peuvent ne pas être plus moyen-orientaux que beaucoup de Grecs ou d’Italiens. Un Etat ethnique blanc pourrait souhaiter savoir qui sont ces gens et garder un œil sur eux, mais tant qu’ils ne choisissent pas se s’identifier différemment, il semble raisonnable de les considérer comme des Blancs, pas comme des Juifs.
  7. Reconnaître que certains Blancs peuvent avoir une certaine ascendance non-européenne n’est évidemment pas un argument pour ne pas empêcher rigoureusement toute aggravation de cette hybridation. En règle générale, je pense que nous devrions être moins focalisés sur la race que nous avons été et plus focalisés sur la race que nous voulons devenir. Si cela nous dérange vraiment, un jour nous serons en position d’éliminer le code génétique étranger. Mais nous n’atteindrons jamais ce jour si nous ne stoppons pas le métissage ici et maintenant, et le plus tôt sera le mieux.
  8. Il est possible pour les nations blanches d’avoir des relations amicales avec les communautés juive et musulmane. Il est possible pour les Blancs de ressentir de la sympathie pour les souffrances des musulmans et des Juifs (en fait, beaucoup trop). Il est possible que les intérêts juifs et musulmans puissent coïncider avec les intérêts blancs de temps en temps, de manières limitées. De telles communautés d’intérêts peuvent être la base d’alliances politiques limitées, mutuellement bénéfiques.
  9. Mais pas aujourd’hui. Pas dans ce monde. Il ne devrait pas y avoir de relations amicales, de sympathie, ou d’alliances politiques avec les Juifs ou les musulmans tant qu’ils occupent nos nations, oppriment notre peuple, et menacent notre survie biologique et culturelle à long terme.
  10. D’abord, nous devons atteindre la séparation. Ensuite seulement nous pourrons parler de bonnes relations. Mais si, par idéalisme ou par pragmatisme excessifs nous nous enchevêtrons avec nos ennemis, nous ne pourrons jamais nous en séparer. Donc les Nationalistes Blancs devraient faire tout ce qui est en notre pouvoir pour encourager la polarisation entre les Blancs d’une part et les musulmans et les Juifs d’autre part.